L’Indonésie reste à ce jour l’un de mes coups de cœur incontestable, et ce, alors que je n’en ai vu qu’une toute petite partie tant le pays est vaste.
L’accueil et la gentillesse des gens y sont pour beaucoup. C’est un pays grandiose, grand tout court d’ailleurs, l’Indonésie étant composée de plus de 17 000 îles, ce qui en fait le plus grand archipel au monde, ni plus ni moins. Rien que les îles principales, à savoir, Sumatra, Java, Bali (qui fait partie des îles de la Sonde), Borneo, Sulawesi ainsi qu’une partie de la Papouasie permettent de passer des mois si l’on veut parcourir ces contrées.
Et c’est pour ça qu’on compte bien y retourner. Le pays offre une palette de paysages fabuleux. C’est une terre d’aventure avec ces nombreux volcans, ces ruines anciennes, témoignage d’un passé riche et ses temples historiques dont le mondialement connu temple de Borobudur.
C’est un pays plein de surprises où même moi, j’ai appris beaucoup en rédigeant cette page. Si je vous dis qu’en Indonésie, il y a des glaciers, surpris ? Autre exemple, on peut trouver les collines aux télétubbies (Bukit Teletubbies), oui oui, une référence aux petits êtres chelous du monde de Tinky-Winky, programme d’enfance phare des années fin 90 – début 2000.
« Joueurs heureux dans les rues de Yokyakarta »
« Danse traditionnelle à Ubud, sur l’île de Bali »
L’accueil et le sourire des Indonésiens m’ont laissé un souvenir impérissable et au-delà de ça, je reste encore subjugué par les volcans. Approcher cette force de la nature à l’état brut est une expérience unique que recommande à tout le monde de faire une fois dans sa vie.
Je n’ai probablement pas assez de mots pour décrire les émotions ressenties lorsqu’au bord du cratère du Mont Bromo, j’écoutais le bruit sourd qui en sortait.
Voici en résumé, quelques infos essentielles à connaitre avant tout séjour en Indonésie.
Non. Depuis 2016, les détenteurs de passeport français, belge, suisse ou canadien, vous obtenez une exemption de visa de 30 jours à votre arrivée (comme en Thaïlande). Histoire d’en garder une trace, je laisse cette phrase ici… mais les règles ont changés…
Oui… depuis juin 2023, il est en effet nécessaire d’acquérir un visa pour visiter l’Indonésie. Le covid a laissé quelques traces, le pays ayant suspendu indéfiniment l’exemption de visa pour pratiquement tous les pays qui en bénéficiaient…
Vous pourrez obtenir facilement un visa directement à votre arrivée au pays. Vous aurez le choix sur un grand nombre de point d’arrivée, dont 16 aéroports (Jakarta, Yogyakarta ou encore Bali pour ne citer que ceux-là), 91 ports maritimes et 7 points de contrôle frontaliers (vous avez une liste ici, même si cette dernière est incomplète, ça donne déjà une idée)
Le Visa On Arrival donne droit à 30 jours pour un tarif de 30 € (environ, le tarif étant donné en roupie indonésienne, à savoir 500 000 Rp).
L’avantage de ce visa est la possibilité de pouvoir prolonger son séjour une fois sur place, si vous décidez que 30 jours ne sont pas assez, ce qui n’était pas possible avec l’exemption auparavant en place.
C’est la petite rubrique « partenaire » mais si jamais vous avez la phobie administrative (ou « syndrome de Thévenoud« ), vous pouvez toujours simplifier les démarches en laissant une agence s’en charger.
Moyennant un supplément, cela vous évite l’embarras ou le stress de gérer le remplissage d’un site en anglais si vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare. Comptez 52 € pour obtenir le visa dans un délai standard.
L’agence que je recommande permet d’obtenir par défaut le visa en 5 jours (si vous payez plus cher, vous pouvez avoir une version express en 3 jours, voire même en seulement 48h)
La demande peut se faire en personne et au moins une semaine avant expiration du visa en cours, en vous rendant dans un service de l’immigration locale. Le tout se fait en trois temps.
1ère visite – soumission des documents (entre 8h et 12h) :
2e visite – paiement et empreintes (entre 8h et 11h) :
3e visite – récupération du passeport (entre 14h et 15h)
La bonne nouvelle, c’est que l’extension peut maintenant être demandé en ligne, évitant un déplacement pouvant être contraignant. Cela se fait via le site officiel : https://molina.imigrasi.go.id/
Si vous comptez rester plus de 30 jours, obtenir le nouveau e-Visa de Visiteur (ancienne eVOA), est la solution évidente puisque ce dernier vous donnera droit à séjourner 60 jours d’affilé, évitant ainsi de passer par la case immigration une fois sur place ou de penser à faire son extension en ligne.
Ce visa coûte 90 €. Son principal intérêt résidant du coup dans l’absence d’avoir à se préoccuper d’une extension car vous pouvez certes séjourner 60 jours avec le simple Visa On Arrival, en faisant 2×30 jours, ce qui revient moins cher puisque ce sera 2×30 € au lieu des 90 € de ce E-Visa.
Il a une durée de validité de trois mois (donc vous devez faire votre demande moins de 3 mois avant votre venue). La demande se fait via le même site que l’extension du VOA : https://molina.imigrasi.go.id/
Il faudra les documents suivants :
Il y a aussi une distinction entre deux types de visa:
Single Entry Visa :
Le multiple entrée permet, comme son nom l’indique, de rentrer plusieurs fois par séjours de 60 jours consécutifs. Une fois les 60 jours, vous sortez juste du territoire et pouvez y revenir le jour même pour de nouveau rester 60 jours. Il est peu probable que vous preniez cette option car elle n’est valide que dans le cadre de visite officielle, professionnelle ou famille, le fameux social-cultural visa.
Cela reste possible de convertir
Ces informations ne restent qu’à titre indicatif, renseignez vous bien avant si vous êtes dans un cas de long séjour (touristique principalement).
En cas de dépassement
En cas de dépassement de la durée légale, les autorités ont durci les lois depuis mai 2019. Si vous avez dépassé la durée de séjour autorisée par votre visa ou l’exemption, vous devrez payer une amende (1 000 000 de roupies, soit 60 €) par jour de dépassement avant de pouvoir sortir du pays. Il y a pour cela une « tolérance » de 60 jours (ce qui représente quand même une amende de plus de 3 500 € dans ce cas), au-delà, vous serez déporté et blacklisté.
Globalement, on trouve des tarifs intéressants dans les 500 € aller-retour. Si votre destination par défaut est la capitale, Jakarta, vous avez de bonnes options avec la très bonne compagnie Cathay Pacific à partir de 550 € avec une escale à Hong Kong (siège de la compagnie).
Avec une escale à Bangkok, vous pouvez tester Thai Airways qui propose aussi des tarifs similaires en dessous des 600 €. EVA Air également avec une escale à Taïwan.
Enfin Qatar Airways propose un vol dans les 615 € avec escale à Doha, qui a l’avantage de mieux découper les vols, car un vol Paris – Hong Kong avec Cathay par exemple, c’est 11h30 d’affilés.
Attention aussi à regarder les temps d’escales. Thai Airways et Qatar proposant des escales pas trop longues.
À tout cela, il existe encore moins cher si faire 2 escales ne vous dérange pas. On trouve par exemple un combo SWISS + Singapore Airlines à partir de 493 €, avec escales à Zurich et Singapour.
Si vous vous rendez directement à Bali (ce qui je pense concernera une majorité de ceux qui liront cette page), on retrouve des options similaires en terme de temps d’escale et tarifs avec Thai Airways, la moins chère à partir de 593 €, et Qatar mais aussi Singapour Airlines, à partir de 640 €.
En double escales, c’est également moins cher, toujours avec le combo Swiss + Singapore Airlines à partir de 500 € mais aussi avec Lufthansa + Singapore dans les 520 €.
On a eu l’occasion de tester le train entre Surabaya et Yogyakarta mais globalement, la plupart de vos déplacements se feront par bus. Le train n’étant à ce jour disponible que sur l’île de Java et dans une moindre mesure, sur Sumatra (je développe ce sujet plus bas).
De base, vous pouvez atteindre plusieurs îles importantes grâce aux aéroports internationaux à savoir :
Pour naviguer entre les différentes îles, le pays est évidemment équipé en réseau de ferries pour les plus grandes ou bateaux rapides (speed boat littéralement) pour les plus petites îles.
Il est également possible par ce biais d’arriver via la Malaisie ou Singapour, 2 pays voisin à l’archipel.
Dans les grandes villes, vous trouverez des taxis ou moto-taxis. Le métro n’en étant qu’à ses balbutiements, on y trouve qu’un métro léger Palembang sur Sumatra et une ligne de métro à Jakarta qui vient tout juste d’ouvrir en 2019.
Sinon, il reste toujours la possibilité de louer des voitures ou motos pour aller explorer en indépendant.
Si je vous dis 480 000 kilomètres ? C’est le cumul du réseau routier (dont 743 kilomètres seulement d’autoroutes), ce à quoi je devrais préciser que 1/3 ne sont pas goudronnés. En somme, peu mieux faire, car c’est en deça de la moyenne des pays d’Asie du sud-est. Mais cela ne gêne certainement pas pour visiter l’essentiel du pays (à titre de comparaison, la France, pays 4x plus petit, cumul 1 million de kilomètres).
À part sur la partie Papouasie de l’Indonésie et les Moluques, le bus sera probablement votre moyen de transport de prédilection.
Sur les trajets inter-cités, vous ne bénéficierez de bus climatisés que si les routes sont larges, donc principalement entre les grandes villes. Autrement, ce sera plutôt des bus locaux, souvent étroit avec peu de place pour les bagages que vous devrez caser quelque part sous vos pieds ou genoux.
Sachant qu’en Indonésie, on fume partout, j’espère que l’idée de faire un trajet avec une odeur de cigarette en permanence ne vous dérange pas (je sais pas si c’est aussi le cas dans les bus climatisé, car nous n’avions pas eu l’occasion d’en tester).
Autre particularité, accrochez vous bien, l’Indonésie a pas mal la réputation de « fast & furious » pour ses « pilotes » de bus.
On peut distinguer 3 classes :
Les tarifs en economies sont particulièrement « cheap ». Même si mon voyage commence à date (c’était en 2011), on avait des trajets en bus locaux coûtant pas plus de 2 € par personne. De ce que j’en ai lu, on s’en sort toujours pour des montants assez faible (même si c’est plus qu’à l’époque forcément).
Ce qui est courant par contre, c’est les changements de bus. Les sites touristiques étant excentré par rapport aux villes.
Un exemple, aller de Dieng Plateau jusqu’à Yogyakarta : il faut d’abord prendre un bus pour redescendre jusqu’à Wonosobo, la ville la plus proche (1h30, 20 000 Rp). Le bus ne se rendant pas forcément au terminal de la ville, il peut être nécessaire de se faire déposer au plus proche puis prendre un transport local (3 000 Rp) jusqu’au terminal de Wonosobo, puis rejoindre Magelang (2h30, 25 000 Rp) et enfin finir le trajet jusqu’à Yogyakarta (encore 1h, ) soit 3 bus différents et 5-6h de route en tout pour parcourir à peine 120 km.
Malgré tous ces changements, le coût total est normalement entre 60 000 et 80 000 Rp (ça dépend comment vous vous faites entuber, car ça aussi, ça reste courant dans le bus de payer un truc en plus qu’on sait pas pourquoi), ce qui fait à peine 5 €.
Après on a pas testé mais en transport local, il y a aussi le fameux Bemo, sorte de minivan en rustique.
On n’a pas pris beaucoup de taxis lors de ce séjour, notamment parce que lorsqu’on pouvait, on louait un scooter sur place et aussi parce qu’on était vraiment en mode petit budget, donc on préférait si possible marcher si les distances étaient pas trop grande (malgré mon sac de 20 kg à l’époque).
De mon calcul, je vois que les tarifs tournaient autour de 3 500 Rp par kilomètre, d’après le tableau ci-dessous, j’avais vu juste. Si le tarif de prise en charge et au km varient selon les villes, mon exemple concerne Surabaya, qui est à 3 600 Rp le km.
Ville
|
Prise en charge
|
Coût par 1 km
|
Tarif pour 1h d’attente
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---|---|---|---|
Bali | 7 000 Rp | 7 350 Rp | 42 500 Rp |
Bandung | 8 000 Rp | 4 100 Rp | 67 500 Rp |
Jakarta | 6 850 Rp | 6 000 Rp | 42 000 Rp |
Medan | 5 500 Rp | 8 500 Rp | 39 000 Rp |
Surabaya | 7 000 Rp | 3 600 Rp | 42 000 Rp |
Yogyakarta | 7 500 Rp | 5 000 Rp | 45 000 Rp |
Pour citer un exemple, pour se rendre de l’aéroport (Juanda International Airport) jusqu’à notre hôtel (le Family Guesthouse), il y avait 16 km, on avait payé 150 000 Rp…
Si vous faites le calcul, on aurait dû en fait payer moins de 60 000 Rp, soit 2x moins… Mais c’était notre deuxième gros voyage donc pas encore bien préparé… On n’a pas trop cogité, car on n’avait pas vérifié la distance et cela faisant environ 500 Bahts à l’époque, ce qui ne nous paraissait pas non plus énorme (en Thaïlande, beaucoup se font arnaquer avec des trajets aéroport – hôtel à 600 voir 800 Bahts quand ça coûte en réalité deux fois moins également).
À l’inverse, pour se rendre à la gare de Surabaya le lendemain, on avait un peu plus de 6 km et on avait payé cette fois 20 000 Rp, ce qui correspond bien.
En Indonésie aussi, les applications de transports se démocratisent aussi et vous pouvez pour faciliter vos trajets en taxi télécharger :
Il y a aussi la possibilité comme partout de louer une voiture avec chauffeur. C’est pratique pour simplifier une partie du voyage puisque cela implique de se laisser transporter sans se soucier de la direction, mais plus rapidement qu’en transport en commun.
C’est rare qu’on y fasse appel pour des raisons budgétaire, d’abord, mais aussi parce qu’on préfère toujours notre indépendance. Et à ce jour, l’Indonésie est l’un des seuls pays où l’on testait un bout de parcours avec cette méthode, afin de finaliser notre séjour sur Java (pour visiter le volcan Bromo et Ijen, jusqu’au ferry pour Bali).
Le transport local par excellence, encore bien présent dans les petites villes ou certains quartiers de grande ville. De notre expérience, cela restait assez cher comparé au taxi. À chaque trajet (souvent aux alentours d’un kilomètre) on payait de l’ordre de 20 000 Rp.
Plus précisément pour donner un exemple encore une fois, à Malang, on avait payé 20 000 Rp pour aller du marché aux oiseaux jusqu’à un temple chinois (Eng an Kiong Vihara, 1,2 km).
Au retour vers notre hôtel (près du rond-point de la gare), on avait 1,6 km et on a payé 25 000 Rp (de l’ordre de 2 €).
Dans plusieurs villes à Java, on y croisait aussi des calèches, c’était le cas à Yogyakarta et Borobudur notamment. Aucune idée des tarifs, la seule fois où l’on en faisait, c’était pour aller de notre hôtel à Borobudur jusqu’au terminal de bus à côté du marché, genre à peine 1 km, offert par l’hôtel.
Fidèle à mes envies d’indépendance, je testais la conduite du deux-roues à Dieng Plateau sur Java et pour graviter autour de Bali.
Déjà habitué à conduire en Thaïlande, j’avais déjà une certaine expérience en Asie, bien qu’à l’époque encore « débutant ». Autant je n’ai eu aucun soucis particulier au plateau de Dieng, autant je me suis fait quelques frayeurs sur les routes montagneuses de Bali, à rentrer vers Ubud de nuit sur une route mal indiquée avec des nids de poule.
Soyez prudent ! Voici quelques règles concernant la location de motos et scooters :
L’essence se trouve partout le long des routes, les petites échoppes en proposant en bouteille d’un litre (vendue 10 000 Rp soit environ 60 centimes).
Le permis international est nécessaire pour toute location, il est gratuit et à demander auprès de la préfecture (les demandes se font en ligne maintenant). Attention parce que les délais d’obtention sont parfois très long (plus de 2 mois !).
Si vous louez un scooter, le permis B seul ni le A1 ne suffisent pas, à ma connaissance, tout comme en Thaïlande, c’est un permis A en bonne et dû forme qu’il faut pour être en règle en Indonésie.
Pour la location de voiture, on trouve des tarifs à partir de 300 000 Rp par jour (18 €) dans les zones touristiques avec une assurance limité.
Si vous préférez ne pas conduire vous-même, il est possible de louer une voiture avec chauffeur à partir de 600 000 Rp, cela reste un bon compromis en terme de liberté de mouvement et coût, surtout si vous êtes en famille ou en groupe.
Avec seulement 5 000 km de réseau ferré, ce ne sera pas votre moyen de transport de prédilection (par comparaison, la France cumule plus de 30 000 km de lignes).
À l’heure actuelle, 70 % se trouvent sur l’île de Java avec plus de 3 000 km, le reste étant réparti sur Sumatra essentiellement et dans une moindre mesure, sur Bornéo (Kalimantan). Et il faut admettre que quand il y en a, le train reste bien pratique comparé au bus. Moins bondé, plus sécurisant et bon marché, on l’avait pris le lendemain de notre arrivée au pays pour rallier Surabaya à Yogyakarta puis dans l’autre sens pour se rendre à Malang.
– Trajet Surabaya -> Yogyakarta = 5h de trajet pour 330 km, à partir de 70 000 Rp, plus généralement autour 88 000 Rp (moins de 6 €)
– Trajet Yogyakarta -> Malang = 7h de trajet pour environ 400 km, à partir de 170 000 Rp (c’est un train de nuit donc plus cher)
Le train est amené à pas mal évoluer en Indonésie dans les années à venir. En plus de doubler les voies (à ce jour essentiellement à voie unique), l’Indonésie prévoit de rajouter au moins 3 200 km de lignes, en ajoutant notamment sur l’île de Sumatra (qui en a 1 300 km à peu près), Kalimantan (la partie Indonésienne de l’île de Bornéo, partagée avec la Malaisie) qui n’a pour l’instant que 122 km de voies ferrées (complétées en 2019).
Le train ferait également son apparition sur l’île de Sulawesi, la Papouasie ainsi que sur Bali.
Pour réserver à l’avance, le site ticket.com est la référence. Les réservations peuvent se faire jusqu’à 90 jours à l’avance mais parfois 30 seulement selon les destinations et la période de l’année.
Il existe bien un site officiel, mais ce dernier n’est qu’en indonésien et apparemment, n’accepte que les cartes de crédit indonésiennes… Localement, vous avez aussi un système de train entre Yogyakarta et Solo dont vous pouvez voir les horaires et tarifs des trains sur prameks.com.
Vous verrez qu’on distingue 3 types de classes, Eksekutif, Bisnis and Ekonomi. Mais par défaut, beaucoup des trains ne sont en fait que des Eksekutif (sièges inclinables), même si le tarif est marqué selon plusieurs classes sur le site.
Avec plus de 17 000 îles composant l’archipel, on est en droit de supposer que le pays est équipé en réseau de ferries et bateaux en tout genre pour faire les traversées.
Je ne connais pas trop les prix, car mon expérience est limitée à notre traversée entre Java et Bali, dont le ticket du ferry était inclus dans notre package depuis Malang. De ce que j’en ai lu, un ferry régulier Java – Bali coûte seulement 6 000 Rp par personne.
La plupart des grandes îles, Sumatra, Java, Bali, Lombok, Sulawesi ou encore Nusa Tenggara sont reliés par des ferries pouvant accueillir des véhicules.
Selon les îles, vous aurez des liaisons journalières ou à minima, pluri-hebdomadaires. À l’inverse, sur les « autoroutes » entre Java – Bali – Lombok – Sumbawa, c’est plusieurs ferries par jour (toutes les heures en gros).
Vous pouvez réserver et avoir des infos sur le site de la compagnie gouvernementale PT Pelni, mais c’est assez confus sur les liaisons possible (connaissant pas les noms des ports), donc autant voir sur place.
Par contre certains bateaux peuvent vite s’avérer plein et des gens s’étalant partout, car les sièges sont vites plein. De plus, renseignez-vous bien sur la météo et le type de navire utilisé. Si la mer est instable, mieux vaut un ferry digne de ce nom plutôt qu’une petite bicoque vous garantissant un mal de mer.
Vu l’aspect parfois chaotique des routes, il peut s’avérer avantageux de préférer l’avion selon la distance et vos destinations plutôt que les bus combinés aux ferries si vous changez d’île.
Notez que lorsque vous effectuez une recherche sur les sites des compagnies, il est nécessaire de connaître le nom de l’aéroport, car c’est ce dernier qui figurera dans la liste et non la ville où il se situe. Pour citer un exemple, si vous comptez vous rendre à Makassar, sur l’île de Sulawesi, il faut chercher Ujung Pandang (UPG). Une simple recherche Google en associant « airport + nom ville » vous donne la réponse.
Attention aussi, car certaines villes, je pense surtout à la capitale Jakarta, possède 2 aéroports. Vous pouvez trouver une liste complète des aéroports en Indonésie avec nom + ville ici.
Parmi les compagnies locales offrant des transfert domestique vous avez :
C’était encore nos débuts de voyageurs. On se contentait donc de petites guesthouses simples, voir très basique. Et à part le premier hôtel en arrivant et le dernier avant de repartir du pays, on avait rien réservé. C’est facile de trouver sur place, suffit de jeter un œil et si le tarif convient, hop c’est fait.
On en retire quelques adresses sympas même dans ces petits budgets.
À commencer par notre hôtel à Borobudur, bien placé et un accueil excellent. Même si les années ont passé, le Guesthouse garde une très bonne réputation.
On a testé quelques homestay sympa aussi, un peu par hasard comme le Duta Homestay lors de notre passage à Wonosobo. Et on a eu quelques endroits plus miteux comme l’hôtel au plateau de Dieng, pris par flemme de marcher vu que c’était à côté de là où nous déposait le bus, et parce que bon, c’était vraiment pas cher (80 000 Rp soit 7 €).
Autant c’était une chambre pourrie autant le restaurant était super bon et l’accueil aussi. Il existe d’ailleurs toujours mais a heureusement depuis subit un petit lifting pour rafraîchir tout ça (c’était le Bu Djono).
Pas mal des GH n’avaient pas de chauffe-eau et bon, s’il fait pas froid en journée, l’eau restait un peu fraîche pour apprécier une bonne douche. J’imagine que ça a évolué depuis et ce n’est pas ce qui est le plus contraignant.
Un de nos hôtels était prévu dans le package de la visite du Mont Bromo et ijen donc pas eu le choix mais vu le passage éclair c’était pas dramatique.
Celui qu’on avait pris à Malang pour des raisons pratique (proche de la gare) est aujourd’hui fermé mais comme il était pas mémorable ce n’est pas une grosse perte…
À Bali, on avait pas anticipé que ce serait à ce point bondé, on s’est retrouvé à demander à plein d’hôtels, tous plein, avant d’en trouver un un correct, mais en travaux… Donc on finissait par bouger au bout de deux nuits avant de trouver un autre endroit sympa, mais ça nous aura fait perdre une journée.
Donc, en gros, il est préférable de réserver à l’avance sur Bali. Si je ne l’ai pas fait à Ubud, je l’ai par contre fait pour Jimbaran, afin de prendre un hôtel pas trop loin du bord de plage, avec piscine pour conclure ce voyage dans un « bel » hôtel… Malheureusement, mon budget limité m’a fait faire un choix décevant et ne vous recommande pas l’hôtel en question (le Puri Dewa Bharata Jimbaran Hotel).
Comme on aime bien savoir où l’on va atterrir en arrivant dans un nouveau pays, c’est l’un des seuls réservé à l’avance. L’hôtel était récent au moment de notre passage et s’avérait un bon choix pour ce qu’on avait besoin. Une grande chambre, propre et très bon accueil (mais ce fut général sur l’île de Java). Seul souci (surtout pour le chauffeur de taxi), l’hôtel est situé en arrière de la route principale donc pas évident à trouver. Le petit-déjeuner était inclus et aussi très correct.
Indiqué sur notre guide papier, on débarquait ici sans réservation (après nos péripéties de l’arrêt de bus). Heureusement qu’il y avait de la place, car c’était un très bon choix. Dans notre budget (14 € à l’époque) et surtout quel accueil ! Des gens géniaux, une chambre très grande avec une terrasse et une belle vue sur la rizière derrière, le top ! On décidait même d’y rester une nuit supplémentaire (aussi, parce qu’on a adoré les alentours).
Souscrire à une assurance est souvent négligé. Le budget souvent serré y est pour quelque chose mais on a tendance à se penser suffisamment couvert grâce à sa CB. Mais une assurance voyage, surtout si vous partez plusieurs mois en Asie peut s’avérer plus que bienvenue en cas de pépin, car les assurances des cartes bleues sont limitées.
Le montant maximum pour les frais de soins pris en charge sur les CB classiques peut s’avérer insuffisant (de l’ordre de 10 000€ contre 200 000 € pour une assurance voyage dédiée) et ne couvre pas la responsabilité civile.
Je vous conseille ACS Solutions d’Assurance Voyage & Expatriation.
Je précise que si vous souscrivez à l’assurance via le lien, je toucherais une petite commission. C’est une manière simple d’aider à faire tourner le site, car une assurance est de toute façon préférable et ce sera donc bénéfique à la fois pour vous et moi.
On retrouve les mêmes recommandations que pour pas mal de pays d’Asie, avec dans l’idée, aucune vaccination obligatoire, mais tout une série reste recommandée. En plus bien sûr d’être à jour dans vos vaccins classiques (DTP pour les adultes, ROR pour les enfants).
Vaccins recommandés :
La typhoïde (autre appellation de la fièvre typhoïde) est une infection bactérienne contagieuse qui se développe dans les milieux où les conditions d’hygiène sont mauvaises. Cette maladie infectieuse est causée par l’ingestion d’aliment ou d’eau souillée, donc en cas d’hygiène douteuse, abstenez vous de consommer l’un ou l’autre.
Le vaccin contre l’encéphalite japonaise étant surtout nécessaire en cas de séjour prolongé en zone rurale. Cette dernière étant transmise par le moustique, la protection contre ces derniers est particulièrement vitale, car il y a bien d’autres maladies pas terrible à se choper dans ces contrées.
Contre les moustiques
Le plus important est de se prémunir d’un bon anti-moustique, car en Indonésie, il y a un risque sur plusieurs maladies transmissibles par ces bébêtes. À commencer par le paludisme (aussi appelée Malaria), particulièrement en saison des pluies de janvier à avril, propice à la prolifération de ces envahisseurs.
Le risque est plus présent toute l’année sur les îles de Papouasie, Tenggara Est et les Moluques. Sur les îles de Sumatra, Java, Lombok, Tenggara Ouest, les Célèbes ou Bornéo (Kalimantan), c’est surtout en zone rurale qu’il peut y avoir un risque.
En revanche, peu ou pas de risque sur vous ne séjournez qu’à Bali et dans les grandes villes comme Jakarta.
En dehors du palu, c’est la dengue, le chikungunya ou encore le virus zika qui peut traîner. Bref, les moustiques ce ne sont pas nos amis, protégez vous, la peau mais aussi les vêtements, en les imprégnant aussi de répulsifs et en préférant des teintes claires.
Les conditions d’hygiène ne sont pas dans les mêmes standards qu’en France, donc si vous êtes sensible, mieux vaut prendre quelques précautions.
Et des règles d’hygiènes en générales :
L’Indonésie étant sur la ceinture de feu, le risque de séisme est particulièrement présent. On compte aussi beaucoup de volcans actifs donc une vingtaine fait l’objet d’une surveillance accrue. Renseignez-vous bien sur les risques en cas de randonnée à proximité d’un volcan.
Les risques dans les transports
Comme beaucoup de pays en Asie, la conduite est assez chaotique, encore plus vu l’état général du réseau routier, qui a encore beaucoup à améliorer, mais surtout la mentalité des conducteurs (notamment de bus).
Évitez de conduire de nuit, en deux-roues, portez un casque en toute circonstance. En cas de forte pluie, même si vous avez un parka, préférez faire un stop et attendre que ça se calme, outre la visibilité réduite, la chaussée sera glissante, ne prenez pas de risques inutiles.
N’oubliez pas aussi qu’en Indonésie (comme en Thaïlande), on roule à gauche !
Arnaques, escroqueries et délinquance
Au niveau de la délinquance, c’est un pays plutôt sûr. Après comme partout, on retrouve des vols à l’arrachée, arnaques possibles dans les lieux touristiques, on signale aussi quelques escroquerie aux cartes bancaires, soyez juste attentifs.
Ne portez pas toutes vos affaires importantes dans un sac, en cas de vol c’est plus compliqué à gérer. Répartissez votre argent et laissez quand les passeports dans les coffres des hôtels s’il y en a. Ayez toujours une photocopie de vos papiers importants, ça peut toujours servir.
Des actes de piraterie sont signalés dans les zones frontalières avec Singapour (détroit de Malacca), la Malaisie et les Philippines. Également prudence dans les eaux intérieures (mers de Banda, de Java et de des Célèbes).
La seule zone d’Indonésie particulièrement à risque est la Papouasie (et encore, pas la partie occidentale). Cette dernière a tendance à être en proie avec des mouvements indépendantistes, particulièrement dans les régions montagneuses du centre.
Informations pratiques
– Numéros d’urgence –
Résumons ici les principales attractions de l’Indonésie. On peut pour se faire découper le pays en 8 groupements d’îles.
Si l’on fait abstraction de l’île de Nouvelle-Guinée et Bornéo, partageant leur surface avec la Papouasie-Nouvelle-Guinée dans un cas, et la Malaisie dans l’autre, Sumatra est la plus grande île sous la seule souveraineté indonésienne.
Proche de la Malaisie, c’est l’une des îles les plus visités du pays (avec Java et Bali). Elle est réputée pour ses volcans fumant, ses lacs et sa faune tropicale.
En partant du nord de l’île, vous pourrez atterrir à Medan, la plus grande ville de l’île. Vous pouvez visiter le palais Maimun, un palais royal du XIXe.
Parmi les attractions des environs, on peut citer le lac Toba, situé au sud de Medan. Ce dernier fait partie des 10 lieux que l’Indonésie chercher à promouvoir ces dernières années. Vous voulez un argument ? C’est le plus grand lac volcanique du monde. Ne loupez pas la cascade (Air Terjun) de Sipiso Piso, au nord du lac, qui dévale une pente de 120 m.
Entre le lac Toba et Medan, vous pourrez faire de la randonnée au volcan Sibayak. Un immanquable pour y admirer la faune locale est le parc national du Gunung Leuser. Situé dans la province d’Aceh (qui se prononce Atchè), vous pourrez y admirer des singes dont des orang–outans.
Si vous continuez au nord, vous pourrez vous baigner sur la grande plage de Lampuuk.
Depuis Padang, ville plus centrée sur l’île de Sumatra, vous pourrez vous détendre au bord du lac Singkarak, et faire une visite culturelle au palais royal (istana) de Pagaruyung, dont la construction d’origine remonte au début du XIXe (mais ce dernier a brûlé par 3 fois, dont la dernière aussi récemment qu’en 2007).
Ou peut être préférerez vous le Puncak Lawang, avant de partir à l’aventure. Et comme aventure, on peut citer le volcan Kerinci. À ne pas confondre avec le parc national de Kerinci Seblat, situé juste au nord de la ville de Padang et qui est très bien aussi, avec son lot des cascades, c’est le plus grand parc national d’Indonésie (1,4 million d’hectares !).
Le volcan Kerinci lui, plus au sud, est, avec ses 3 805 m, le plus haut d’Indonésie. Le défi ? Monter au sommet pour admirer le lever de soleil bien sûr ! De là, vous pourrez admirer un groupement de montagnes (sept) au creux duquel se trouve le lac des Gunung Tujuh, ce qui veut dire les sept montagnes justement.
Si vous poursuivez votre périple jusqu’à la pointe sud de Sumatra, vous pourrez faire un stop à Lampung, ville balnéaire située dans la province du même nom, réputée pour sa plage de Muntun. Autre point intéressant, la plage de Gigi Hiu et ses formations rocheuses très photogéniques surnommées « dents de requin ».
Non loin de là se trouve la baie de Kiluan (Teluk Kiluan) d’où vous pourrez peut-être observer des dauphins.
C’est déjà un résumé bien trop long, mais vous donne déjà une idée des possibilités offerte par cette grande île, je vous laisse déjà imaginer la suite et donc le temps nécessaire pour parcourir le pays dans son ensemble !
C’est probablement l’île la plus populaire après Bali, notamment parce que les deux îles sont voisines, elles se combinent aisément et offrent deux facettes complètement différentes du pays.
C’est aussi la plus importante du pays puisque c’est sur Java que se trouve la capitale, Jakarta. On estime que 57 % de la population totale de l’Indonésie vie sur l’île de Java !
Personnellement, outre l’accueil des gens qui fut mémorable, j’ai adoré le mélange entre rizières et volcans en terme de paysage. C’est sur cette île que se trouve la capitale, Jakarta, mégapole trépidante qui jouxte le front de mer, d’où vous pourrez vous évader vers des îles comme celle de Semak Daun.
Cette dernière fait partie des îles Seribu, connus comme les « mille îles », ou Kepulauan Seribu en Indonésien. Un groupe de 76 îles forme cet archipel promu par l’office de tourisme.
Votre prochaine étape pourrait se faire à Bandung, situé à 2 pas du volcan Tangkuban Parahu. La ville possède des restes de l’époque coloniale dont le Gundung State, grand bâtiment administratif colonial hollandais des années 1920 et surtout la charmante rue de Braga, lui donnant le surnom de « Paris de Java ». Vous pourrez sinon faire du shopping le long de la rue Cihampelas avant de vous ressourcer en forêt tropicale.
Pour se faire, vous pourrez soit vous rendre sur le sentier de Keraton cliff d’où vous aurez une belle vue sur le volcan Tangkuban Parahu, soit vous balader dans le jardin botanique de Taman Hutan Raya Ir. H. Djuanda.
Au sud de Bandung, admirez les couleurs au fond du cratère du volcan Kawah Putih. En poursuivant au sud-est, faites un arrêt sur la côte de Pangandaran, outre sa plage, vous pourrez explorer son canyon « vert ».
Avant de rejoindre Yogyakarta, véritable centre névralgique de cette partie d’île, à cheval entre Java Central et Oriental, vous pouvez faire un stop au plateau de Dieng. Outre sa zone volcanique niché au milieu d’une caldeira, où l’on peut voir quelques beaux panoramas et lacs,c’est un ancien site archéologique avec les restes de quelques huit temples hindouistes en ruine.
L’île de Java, c’est surtout là où se trouve le très réputé temple de Borobudur, site le plus visité d’Indonésie. Il s’agit d’un ancien joyau du temps où la région était encore bouddhiste (bâti entre les et VIIIe et IXe siècles).
Au loin, vous pourrez admirer le volcan Merapi qui crache sa fumée en permanence, comme une sorte de warning et prêt à lâcher sa colère à tout moment.
Parmi les autres sites historiques, je peux citer les temples hindous de Gedong Songo, au sud de Semarang et le site archéologique de Truwalan, au sud-ouest de Surabaya.
Mais après Borobudur, le plus connu est l’ancien temple hindou de Prambanan, situé proche de la ville de Yogyakarta. La zone concentre en fait un ensemble de 240 temples shivaites datant pour la plupart du IXe. Ces deux sites sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco et son clairement des immanquables non seulement à Java, mais en Indonésie tout court.
Avant de rejoindre Bali, il restera la rencontre magique avec les deux « stars » de Java, les volcans Bromo et Ijen. Le Bromo est célèbre pour son point de vue où s’alignent trois volcans dont le majestueux Semuru.
Le Kawah Ijen est quant à lui mondialement connu pour son lac acide dans son cratère, à côté duquel des surhommes arrachent en son flanc des blocs de soufres cumulant jusqu’à 90 kg, qu’ils remontent jusqu’à deux fois par jour puis descendent en bas du volcan.
Bali, c’est un peu un pays dans un pays. L’île possède son identité propre, marquée par la religion hindouiste prédominante, qui rythme le quotidien de ses habitants.
Bali possède cette réputation d’île paradisiaques pour ses cascades au milieu d’une jungle luxuriante, ses rizières en terrasses (Tegallalang), ses spots de surf, falaises vertigineuses, ses lacs au creux des volcans et ses temples hindous comme le Pura Tirta Empul ou Tanah Lot.
La réalité est que l’île est un peu victime de son succès. La ville aux « artistes » et aux singes d’Ubud, autrefois siège des retraites spirituelles et arrêt idéal pour un moment détente dans un spa est un peu débordé par le trop grand nombre de touristes attiré par toutes ces promesses.
Même la petite île voisine de Nusa Penida, autrefois véritable refuge perdu est pris d’assaut. Et déjà à notre époque, la différence entre Java et Bali était net. Quelques années plus tard, le nombre de touristes à doublé, dont aujourd’hui un très grand nombre de touristes chinois (aujourd’hui 2e nationalité à visiter l’Indonésie après les Malais voisin).
Pour l’anecdote, c’est au coin sud-est de cette île de Nusa Penida qu’on trouve un exemple de collines aux télétubbies, en référence aux collines coniques vertes qui servent de lieux d’habitations aux aliens du programme éponyme.
Le terme étant devenu générique en Indonésie pour désigner ce type de topographie (c’est pourquoi on retrouve des « Bukit Teletubbies ailleurs dans le pays, comme à côté du Mont Bromo ou proche de Jayapura en Papouasie).
C’est le nom donné à la partie Indonésienne de l’île de Bornéo, la partie nord étant Malaisienne et un petit bout formant l’État du Brunei. Beaucoup des sites majeurs de Bornéo comme le mont Kinabalu, le parc national de Bako ou le parc national du Gunung Mulu se trouvent de côté nord de l’île, en Malaisie.
Le côté Indonésien n’est pas en reste. Bornéo c’est l’un des derniers endroits sur terre abritant une forêt primaire, habitée entres autres par des orangs-outans.
Pour observer ces grands singes arboricoles en grand danger d’extinction à cause de la destruction de ses espaces naturels (pour laisser la place à des palmiers dont on récupère son huile tant demandé), le meilleur endroit est au parc national de Tanjung Puting. Ce parc est situé à cheval sur une zone côtière au sud de Bornéo, dans la province du Kalimantan central, fief des populations dayaks.
L’île partage avec Sumatra également en Indonésie, une petite particularité. Cette dernière est en effet sur la ligne de l’équateur, cette ligne imaginaire séparant l’hémisphère nord de l’hémisphère sud. Cette séparation est représenté physiquement par le monument au Khatulistiwa Park, au nord de la ville de Pontianak dont vous pouvez aussi visiter son palais royal en bois (Istana Kadriah).
Si vous êtes curieux et allez au large de cette pointe nord-ouest de Kalimantan, vous trouverez isolées à plus de 500 km de là l’archipel des îles Riau et les îles Anambas, qui n’ont rien à envier aux Maldives !
Autre visite intéressante sur Kalimantan, le lac Labuan Cermin et son eau crystaline aux couleurs irréelles, surnommé le lac mirroir. Située dans la partie orientale de l’île, à côté du village de Labuan Klambu, dans la région de Bidu biduk, ce lac a la particularité de se jeter dans la mer, à seulement 1 km de là.
De ce fait, l’eau y est douce en surface, avec des couleurs émeraudes et revêt un aspect plus bleu en profondeur tandis que l’eau y est salé (entre 2 et 3 m). C’est un site assez peu visité car isolé et il faut compter 6 à 8h de route depuis l’aéroport le plus proche, celui de Berau.
Réputée pour ses plages et îles idéales pour des séances de plongée au milieu de récifs coralliens comme au parc national marin de Bunaken, Sulawesi est l’une des îles à la popularité croissante.
Pour vous y rendre, votre point de chute sera très certainement Makassar, la plus grande ville de l’île. Visitez le fort Rotterdam, un ancien fort néerlandais accueillant aujourd’hui 2 musées. À l’extérieur de la ville, allez voir les grottes Leang-Leang, un site historique abritant des peintures rupestres préhistoriques.
Le site fait partie du parc national de Bantimurung-Bulusaraung, qui comprend des grottes karstiques, des chutes d’eau et une importante population de papillons.
Au coin sud-est, se trouve l’un des sites promu récemment par l’office de tourisme indonésien, le parc national de Wakatobi, un groupement d’îles également propices pour plonger. C’est aussi la demeure du peuple des mers, les Badjos.
La principale île de l’archipel des Célèbes (Sulawesi étant son nom indonésien), c’est aussi Tana Toraja, le pays des Toraja, peuple ethnique indonésien connues pour sa culture ancestrale et notamment ses rites funéraires élaborés, mais également ses maisons aux toits reconnaissables, sculptées en forme de bateau.
Toraja vient de « to riaja » qui signifie « peuple des hautes-terres », ces derniers habitants les montagnes du centre de l’île, entourée de vallées luxuriantes avec des rizières en terrasse. Vous pourrez à proximité gravir les presque 3 500 m du Rantemario si vous voulez prendre peu de hauteur.
En poursuivant votre route vers Palu, vous croiserez le lit de la rivière Lariang, le plus longue de l’île et propice pour du rafting. En remontant son cours, vous atteindrez la vallée de Bada, appelée Napu localement. Située juste à l’est du parc national de Lore Lindu, en plein dans la région centrale de Célèbes, cette vallée abrite de grandes statues en pierre énigmatiques, qui dateraient du XIVe siècle ainsi que des jarres, également en pierre.
Toujours plus au nord, coincé entre les provinces de Sulawesi du Nord et Central, vous avez les îles Togian dont la réputation n’est plus à faire. En regagnant les terres, vous pouvez passer par Gorontalo et son ancien fort néerlandais d’Otanaha construit en 1522, avant de revenir sur la côte et vous isoler sur la petite île de Saronde, petit paradis perdu de la mer des Célèbes.
La dernière étape intéressante étant tout au nord, à Manado, où, pour l’anecdote, on y trouve la plus grande statue du Christ. Vous pouvez aussi jeter un œil au temple chinois (taoïste) de Ban Hin Kiong, datant de 1819 et plutôt rare dans ces contrées.
Depuis Manado, vous pourrez faire de la randonnée ou du vélo autour du volcan Mahawu, à moins que vous préfériez le volcan Lokon. Au sud du lac Tondano se trouve le volcan le plus actif de Sulawesi, le Soputan.
Terminez enfin la découverte de cette superbe île pleine de surprises au parc national de Tongkoko, connue pour sa faune dont fait partie les macaques nègres et le tarsier, plus petit primate au monde.
En tant que tel, ce nom ne vous dit probablement rien. Par contre si je vous cite l’île de Lombok, Flores ou encore le parc national de Komodo, cela vous parle probablement plus. Nusa Tenggara est le terme indonésien désignant les petites îles de la Sonde (la traduction littérale étant « îles du sud-est »). Cet archipel est découpée en deux parties.
Lombok étant à côté de Bali, elle bénéficie d’une visibilité grandissante. Beaucoup de gens allant se dorer sur la pilule sur les trois petites îles Gili, au nord-ouest de Lombok. Mais c’est surtout l’ascension du Mont Rinjani, le volcan de l’île, qui attire toute l’attention. Un trek de 3 jours pour arriver au sommet sableux du deuxième plus haut volcan d’Indonésie, à 3 726 m permettant d’admirer le plus beau lever de soleil sur l’île.
En continuant vers l’est, vous arrivez sur l’île de Sumbawa. En son extrémité ouest, vous aurez quelques belles plages sauvages comme Pantai Jelengah ou Maluk Beach.
Dans la ville principale de l’île, Sumbawa Besar, il y a un palais royal, l’Istana Dalam Loka, batisse en bois sur deux étages reposant sur des pilotis.
Mais la star de l’île est le volcan Tambora, un stratovolcan, qui forme la péninsule de Sanggar. Le diamètre du volcan au niveau de la mer est d’environ 60 km. Je parle de star car ce redoutable volcan entra en éruption en 1815, la plus violente depuis 1 300 ans, d’où il en découla un hiver volcanique et l’année suivante, ce qui a été nommé « l’année sans été » et eu des conséquences importantes (famines en Europe notamment) et des traces irréversible partout à travers le monde (Pour avoir un aperçu voici une vidéo résumant l’événement) .
On en arrive à la partie orientale de Nusa Tenggara avec le parc national de Komodo, à cheval sur l’île éponyme de Komodo mais aussi Padar et Rinca.
Le site est mondialement connu pour sa population de Dragon de Komodo, sorte de vestige des dinosaures en miniature.
Enfin miniature, cette espèce de varan atteint tout de même une taille honorable entre 2 et 3 m pour un adulte (c’est plus gros que l’espèce de varan qu’on trouve en plus petit en Thaïlande, le varan Malais).
Dans le parc, outre les Dragons, on y trouve une curiosité locale, Pink Beach, qui, comme le nom l’indique, est une plage dont le sable arbore une jolie teinte rosée dû à un organisme présent dans les coraux de la baie. On peut observer la sortie de millions de chauve-souris au niveau de la petite île de Kalong.
Au nord de l’île principale de Komodo, admirez le panorama sur le parc depuis la petite île Gili Lawah Darat.
Vient ensuite l’île de Florès, avec comme attraction le volcan Kelimutu (qui signifie « la montagne bouillonnante »). Ce dernier fait partie du parc national du même nom. Le site est réputé pour ses trois lacs colorés, changeant en fonction de la composition de l’eau. Dernièrement, on distingue un lac rouge-brun, un lac acide de couleur vert turquoise et un noir de teinte très foncé (quasi noire).
Au sud de Florès, vous avez l’île de Sumba, superbe et sauvage avec des plages magnifiques comme celle de Nihiwatu Beach ou Pantai Tarimbang. C’est un véritable bijou recelant des trésors comme la nature sait si bien façonner avec le temps.
Je pense à la belle arche de Mbawana Beach, la cascade de Tanggedu (Air Terjun Tanggedu) déboulant sur un canyon aux rochers en escaliers ou celle de Wai Marang et sa belle piscine naturelle.
Je ne peux m’empêcher de citer aussi les collines de Tanarara (Bukit Tanarara), le lagon de Weekuri, surplombant en hauteur la mer et la plage de Pantai Mandorak non loin de là.
Toujours sur cette même île, vous pourrez visiter le village traditionnel de Kampung Adat Ratenggaro et ces maisons en forme de cône.
Sur l’île de Timor enfin, la moins connue de toute je pense, vous pouvez faire de l’escalade et randonnée au mont Mutis, situé au cœur d’une réserve naturelle. Vous avez une très belle plage de galet à Pantai Kolbano au sud et les belles plaines de Fulan Fehan au nord, proche de la frontière avec le Timor oriental.
Sous ce nom un peu trop proche de nos amis les animaux mous, se cache un véritable trésor. Malaku, son nom indonésien, qui veut dire île des rois », est une zone préservée du tourisme (plus on va vers l’est de l’Indonésie en gros).
Elles sont divisées en deux zones distinctes, les Moluques du Nord, dont les principales îles sont Ternate, Tidore, Halmahera, et les Moluques du Sud, avec Ambon, Ceram, Banda, Buru, Aru, Kai et Tanimbar.
Attirant les marchands arabes et les Européens au début du XVIe siècle, ces îles productrices d’épices ont attiré les Européens dans l’archipel indonésien. Parmi ces épices, la noix de muscade, qu’on trouvait sur les îles Banda.
Cela faisait le bonheur de la compagnie néerlandaise des Indes orientales qui comptait bien défendre ce trésor, les îles Banda étaient à l’époque le seul endroit au monde où l’on produisit la noix de muscade. Il en résulte le Fort Belgica, construit au XVIIe siècle sur l’île de Banda Neira.
Les îles Banda sont un archipel d’îles volcaniques dominé par le mont Api, célèbres pour ses formations karstiques appelées « pinacles ».
Au parc national de Manusela, sur l’île centrale de Céram, vous trouverez le point culminant des Moluques, le mont Binaya. À son pied, se trouve le village pittoresque de Kanikeh, d’où vous pourrez partir si vous vous lancez dans l’ascension du mont Binaya (3 027 m).
Autre île notable, l’île de Ternate, plus au nord des Moluques. Dominé par le mont Gamalama, un stratovolcan conique constituant le point culminant, vous pourrez de nouveau y voir une construction des Néerlandais, le Fort Oranje. À quelques kilomètres de là, se trouve le fort Kalamata, que l’on doit aux Portugais cette fois.
Parmi les nombreuses îles des Moluques, on peut citer également celle de Morotai au nord. Cette dernière fait partie des zones promu par l’office de tourisme et possède quelques plages pour se reposer, notamment sur l’île inhabitée de Dodola, juste au sud de Morotai.
À ne pas confondre avec le pays voisin, le Papouasie Nouvelle-Guinée dont l’île principale est scindée en deux, avec l’Indonésie sur la partie occidentale. De part sa position excentrée (on est alors à plus de 4 500 km de l’autre bout de l’Indonésie), la Papouasie et ses fortes traditions est comme un pays dans un pays.
Sur la pointe en Papouasie Occidentale, vous aurez les îles Raja Ampat, un ensemble d’îlots qui fait clairement penser au parc maritime d‘Ang Thong situé dans le golfe de Thaïlande (au sud-ouest de Ko Samui). Ne manquez pas la rivière bleue (Kali Biru), un bijou de la nature au coeur de la forêt, à 1h de Waisai, principale ville de Raja Ampat.
L’île de Papouasie est séparée du nord au sud par une chaîne de montagnes offrant les plus hauts sommets d’Indonésie. Parmi eux, le Puncak Jaya (aussi appelée pyramide Carstensz), Puncak étant un mot indonésien signifiant sommet. C’est non seulement le sommet de l’Indonésie, avec ces 4 884 mètres d’altitude, c’est aussi le point culminant de l’Océanie. Le Puncak Jaya faisant partie des sept sommets (un sur chaque continent), il attire de ce fait des alpinistes du monde entier.
Pour l’anecdote, cette montagne est située proximité du plus gros gisement d’or au monde, dans la mine à ciel ouvert de Grasberg, aussi 3e plus gros gisement en cuivre.
La montagne fait partie de la zone nord du parc national de Lorentz, plus grand parc national d’Asie du Sud-Est et l’une des réserves naturelle les plus riches d’un point de vue écologique, puisque le parc couvre des zones marines avec des mangroves, des zones marécageuses et une forêt dense encore largement inexplorée.
Le parc englobe les terres de groupes ethniques indigènes comme les Asmat, Amungme et les Dani. C’est aussi l’un des rares endroits à présenter des glaciers sous des latitudes équatoriales.
Deuxième sommet d’Indonésie, juste au sud du parc de Lorentz, vous avez le Puncak Trikora et ses neiges éternelles, culminant à 4 750 m. Troisième montagne notable, le Puncak Mandala, dont le point culminant dépasse aussi les 4 000 mètres (4 640 pour être exact). C’est un lieu propice à l’escalade et à faire du parapente.
Si vous avez bien crapahuté jusque-là, la dernière étape qui s’impose est à Jayapura. Vous pourrez vous poser sur les plages de Harlen ou Base-G Beach, théâtre d’un débarquement durant la Seconde Guerre mondiale. C’est aux abords du lac Sentani que vous trouverez un autre exemple de collines aux télétubbies évoquées plus haut.
Je sais que tout ce qui est écrit au-dessus fait un peu indigeste, mais c’est avant tout pour vous donner un échantillon consistant de tout ce que l’Indonésie a à offrir en terme de régions à explorer.
Avec tous ces noms de lieux, il est facile de ne pas s’y retrouver, c’est pourquoi je vais essayer de résumer le tout sur une carte :
C’est évidemment un pays tellement complexe qu’il est difficile d’y établir un circuit clé en main. Comme pour tous parcours, la durée du séjour influera logiquement sur le nombre d’îles possibles à voir. Le tout est de cibler ce que vous souhaitez voir en Indonésie.
Dans un premier temps, je vous partage mon itinéraire, 11 jours à Java, et 6 à Bali
Dans notre cas, on atterrissait à Surabaya, qui était le plus intéressant en terme de prix et comme on voulait se concentrer sur la partie est de Java, c’était parfait.
Sur Java, notre parcours fut donc le suivant :
Surabaya (1 nuit) – Yogyakarta (1 nuit) – Borobudur (2 nuits) – Wonosobo (1 nuit) – Dieng Plateau (1 nuit) – Yogyakarta (1 nuit) – Prambanan (1 jour) – Malang (2 nuits) – Bromo (1 nuit) – Ijen (nuit sur Bali dans la foulée)
Le climat est à la fois tropical et équatorial. Il comporte une saison humide et une saison sèche comme en Thaïlande, mais sont inversés, car la majeure partie de l’Indonésie se trouve sur l’hémisphère sud.
En revanche, comme on est proche de l’équateur, on ne distingue pas de saison « intermédiaire » ni « d’hiver » comme en Thaïlande. Cela implique qu’il y fait chaud toute l’année sans grande variation.
Le climat tropical se retrouve sur les îles les plus au sud, en dessous de l’équateur. On peut donc citer Java, Bali, Lombok, les îles de la petite Sonde (Florès, Komodo).
À l’inverse, sur les îles les plus au nord, on a alors un climat équatorial. C’est le cas pour le nord de Sulawesi et les Moluques du Nord par exemple, qui reçoivent de la pluie assez généreusement toute l’année même si l’on peut noter une diminution entre juin et octobre. La partie sud des Célèbes comporte par contre deux saisons, sèche et humide, plus marquées.
Idem concernant la Papouasie occidentale VS Papouasie centrale, la première étant proche des Moluques du Nord, la démarcation des saisons est moins évidente tandis que le centre est plus épargnée par les plus quelques mois même si la différence n’est pas énorme.
On est également sur un climat équatorial sur Kalimantan (Bornéo) ainsi que sur les îles Bintan, un groupement d’îles situé dans le détroit de Singapour. Cela implique de la pluie également de la pluie possible toute l’année même si une accalmie est notable entre janvier et septembre, avec un idéal en février.
Autre particularité, si vous vous rendez du côté de Medan au nord de l’île de Sumatra. Cette dernière étant au-dessus de l’équateur, donc côté hémisphère nord, la saison des pluies est décalée par rapport au reste du pays. Le mauvais temps est alors courant entre janvier jusqu’au mois de juillet et la belle saison étant alors d’août à décembre.
La meilleure période pour découvrir l’Indonésie se situe majoritairement entre les mois de mai et octobre durant la saison sèche.
Juin/juillet correspond à une période où les Indonésiens voyagent et vacances scolaires oblige en Europe, c’est la haute saison. Pour avoir moins de monde et un climat au top, l‘idéal est au mois de septembre.
Sauf évidemment à se rendre dans les îles au climat équatorial, où les mois à éviter sont alors plutôt juillet/août.
Concernant les îles que nous avons visités, à savoir Java et Bali, la saison pluvieuse s’étale bien de novembre à avril, mai étant selon les îles une période un peu intermédiaire. Bali possède presque un micro climat avec un mois d’avril plus clément comparé au reste du pays.
On a pu constater cette différence puisque nous avons visité le pays en avril. Et si le temps a été majoritairement maussade mêlant la pluie et quelques éclaircies sur Java, on a bénéficié d’un ciel plus clément à Bali.
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Medan |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 32 | 32 | 33 | 33 | 33 | 33 | 33 | 32 | 32 | 31 | 31 | 31 |
T° C Min | 22 | 23 | 23 | 24 | 23 | 24 | 24 | 23 | 22 | 23 | 23 | 22 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 14 | 19 | 13 | 18 | 22 | 15 | 13 | 17 | 24 | 22 | 20 | 19 |
Soleil** | 3 | 4 | 4 | 3 | 4 | 5 | 4 | 4 | 3 | 2 | 3 | 3 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Palembang |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 31 | 32 | 32 | 32 | 32 | 32 | 32 | 33 | 33 | 32 | 31 |
T° C Min | 23 | 23 | 23 | 23 | 24 | 23 | 22 | 22 | 22 | 23 | 23 | 23 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 16 | 12 | 15 | 17 | 16 | 13 | 12 | 11 | 12 | 16 | 20 | 20 |
Soleil** | 4 | 4 | 4 | 5 | 5 | 6 | 6 | 6 | 5 | 5 | 4 | 4 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Jakarta |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 30 | 30 | 31 | 32 | 32 | 31 | 32 | 32 | 33 | 33 | 31 | 32 |
T° C Min | 24 | 24 | 25 | 25 | 25 | 25 | 25 | 25 | 25 | 25 | 25 | 25 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 19 | 17 | 16 | 11 | 9 | 7 | 6 | 5 | 6 | 8 | 12 | 14 |
Soleil** | 6 | 6 | 8 | 9 | 8 | 9 | 9 | 10 | 10 | 9 | 8 | 7 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Yogyakarta |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 29 | 29 | 29 | 31 | 30 | 30 | 29 | 30 | 31 | 31 | 30 | 29 |
T° C Min | 22 | 22 | 22 | 22 | 22 | 21 | 21 | 21 | 22 | 22 | 22 | 22 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 19 | 18 | 17 | 13 | 10 | 8 | 4 | 4 | 4 | 7 | 14 | 17 |
Soleil** | 5 | 6 | 6 | 7 | 7 | 7 | 8 | 8 | 7 | 7 | 6 | 6 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Surabaya |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 32 | 31 | 32 | 31 | 32 | 31 | 31 | 30 | 33 | 33 | 33 | 32 |
T° C Min | 24 | 24 | 24 | 25 | 24 | 24 | 23 | 22 | 23 | 24 | 24 | 24 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 17 | 18 | 19 | 15 | 13 | 11 | 7 | 3 | 4 | 5 | 12 | 23 |
Soleil** | 7 | 7 | 7 | 9 | 9 | 10 | 11 | 11 | 11 | 10 | 9 | 8 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Denpasar |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 33 | 33 | 34 | 34 | 33 | 31 | 31 | 30 | 31 | 34 | 33 | 33 |
T° C Min | 24 | 24 | 24 | 25 | 24 | 23 | 23 | 22 | 23 | 24 | 23 | 23 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 27 | 22 | 20 | 9 | 8 | 6 | 4 | 4 | 8 | 12 | 16 | 22 |
Soleil** | 8 | 8 | 8 | 10 | 10 | 9 | 10 | 10 | 10 | 10 | 9 | 8 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Ubud |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 30 | 30 | 31 | 31 | 30 | 30 | 29 | 29 | 30 | 31 | 31 | 31 |
T° C Min | 24 | 24 | 24 | 24 | 23 | 23 | 22 | 22 | 23 | 23 | 23 | 24 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 20 | 18 | 17 | 11 | 7 | 5 | 8 | 2 | 1 | 3 | 8 | 16 |
Soleil** | 8 | 8 | 8 | 10 | 10 | 9 | 7 | 10 | 10 | 10 | 9 | 8 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Labuan Bajo |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 32 | 32 | 32 | 31 |
T° C Min | 21 | 21 | 21 | 20 | 20 | 19 | 18 | 18 | 19 | 20 | 21 | 21 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 22 | 19 | 17 | 11 | 7 | 5 | 3 | 1 | 1 | 4 | 12 | 19 |
Soleil** | 5 | 5 | 6 | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 | 9 | 9 | 7 | 6 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Maumere |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 31 | 31 | 32 | 31 | 31 | 30 | 31 | 31 | 32 | 32 | 32 |
T° C Min | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 | 22 | 21 | 21 | 21 | 23 | 24 | 23 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 20 | 17 | 15 | 9 | 6 | 4 | 2 | 1 | 1 | 3 | 9 | 17 |
Soleil** | 6 | 6 | 7 | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 | 10 | 10 | 8 | 7 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Waingapu |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 30 | 30 | 31 | 31 | 32 | 32 | 31 |
T° C Min | 20 | 19 | 19 | 19 | 18 | 17 | 16 | 16 | 17 | 19 | 20 | 20 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 21 | 18 | 16 | 10 | 6 | 4 | 2 | 1 | 1 | 3 | 11 | 18 |
Soleil** | 6 | 6 | 7 | 8 | 8 | 8 | 9 | 9 | 9 | 9 | 8 | 7 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Kupang |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 29 | 29 | 29 | 31 | 31 | 30 | 30 | 31 | 32 | 32 | 32 | 20 |
T° C Min | 25 | 24 | 24 | 25 | 25 | 24 | 24 | 24 | 24 | 25 | 26 | 25 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 18 | 16 | 13 | 6 | 4 | 2 | 1 | 1 | 1 | 2 | 8 | 15 |
Soleil** | 7 | 6 | 7 | 9 | 9 | 9 | 9 | 10 | 10 | 10 | 9 | 7 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pontianak |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 32 | 32 | 32 | 32 | 32 | 32 | 32 | 32 | 32 | 31 | 31 |
T° C Min | 23 | 24 | 23 | 24 | 24 | 24 | 23 | 23 | 23 | 24 | 23 | 24 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 19 | 15 | 17 | 16 | 15 | 12 | 12 | 14 | 16 | 18 | 19 | 20 |
Soleil** | 4 | 5 | 5 | 6 | 6 | 6 | 6 | 6 | 5 | 5 | 5 | 5 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Balikpapan |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 29 | 29 | 30 | 30 | 29 | 29 | 29 | 29 | 29 | 29 | 30 | 29 |
T° C Min | 25 | 25 | 25 | 26 | 26 | 26 | 25 | 26 | 26 | 26 | 26 | 25 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 14 | 13 | 15 | 13 | 13 | 12 | 11 | 11 | 9 | 9 | 12 | 15 |
Soleil** | 4 | 5 | 6 | 7 | 7 | 7 | 7 | 8 | 7 | 7 | 7 | 5 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Makassar |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 31 | 31 | 32 | 32 | 33 | 32 | 34 | 35 | 35 | 33 | 31 |
T° C Min | 23 | 23 | 23 | 24 | 23 | 23 | 22 | 20 | 21 | 22 | 23 | 23 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 25 | 20 | 18 | 10 | 8 | 6 | 4 | 2 | 2 | 5 | 11 | 22 |
Soleil** | 5 | 6 | 6 | 8 | 8 | 8 | 9 | 10 | 10 | 10 | 9 | 5 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Manado |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 30 | 30 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 32 | 32 | 32 | 31 | 30 |
T° C Min | 24 | 24 | 25 | 25 | 25 | 25 | 24 | 24 | 24 | 24 | 25 | 25 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 22 | 19 | 16 | 14 | 15 | 15 | 11 | 11 | 10 | 11 | 15 | 20 |
Soleil** | 6 | 6 | 6 | 7 | 6 | 5 | 5 | 6 | 6 | 6 | 7 | 6 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Ambon |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 30 | 31 | 31 | 32 | 32 | 31 | 31 | 31 | 31 | 32 | 31 | 31 |
T° C Min | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 | 22 | 22 | 22 | 23 | 23 | 23 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 14 | 14 | 16 | 19 | 22 | 24 | 23 | 20 | 15 | 13 | 12 | 14 |
Soleil** | 6 | 6 | 7 | 6 | 5 | 4 | 4 | 4 | 5 | 6 | 7 | 6 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Ternate |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 30 | 30 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 30 |
T° C Min | 22 | 21 | 21 | 21 | 21 | 21 | 21 | 20 | 20 | 20 | 20 | 20 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 19 | 17 | 16 | 16 | 18 | 18 | 15 | 15 | 12 | 13 | 15 | 18 |
Soleil** | 6 | 6 | 6 | 6 | 6 | 5 | 5 | 5 | 6 | 6 | 6 | 6 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Sorong |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 31 | 31 | 31 | 30 | 30 | 30 | 30 | 30 | 31 | 32 | 31 |
T° C Min | 24 | 25 | 24 | 25 | 24 | 24 | 24 | 24 | 24 | 24 | 25 | 24 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 17 | 15 | 17 | 19 | 21 | 20 | 19 | 19 | 16 | 15 | 16 | 18 |
Soleil** | 5 | 5 | 5 | 5 | 6 | 5 | 5 | 5 | 5 | 6 | 5 | 5 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Jayapura |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
T° C Max | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 31 | 30 | 31 | 31 | 31 | 32 | 31 |
T° C Min | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 | 22 | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 |
Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
Pluie* | 18 | 17 | 19 | 18 | 14 | 13 | 13 | 13 | 13 | 15 | 16 | 17 |
Soleil** | 5 | 4 | 4 | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 | 4 |
* Moyenne de jours de pluie
** Moyenne de l’ensoleillement journalier (en heures)
Hôtel – Le tourisme en Indonésie étant très variable d’une île à une autre, les types d’hôtels et tarifs varient d’autant. Mais l’hôtellerie est globalement d’un très bon rapport qualité/prix, encore plus ces dernières années avec l’évolution du tourisme.
Si je vous dis grande chambre en cottage à Ubud avec piscine pour 35 € ? Et bien c’est possible au Chili Ubud Cottage, un bon exemple des offres incroyables qu’on peut trouver en Indonésie.
Repas – nourriture – La nourriture en Indonésie n’est certainement pas ce qui plombera votre budget sur ce voyage. Un plat de base ne coûte pas plus de 2 € et si restaurant avec une cuisine un peu plus élaboré, comptez pas plus de 10 €. Paradoxalement, il vous en coûtera plus à déguster une bonne bière locale (dans les 35 000 Rp, soit un peu plus de 2 €). Les bouteilles d’eau étaient à 5 000 Rp soit à peine 30 centimes.
Transports – Les transports sont très accessibles pour les petits budgets, presque plus sur les longs trajets que localement. Avec des courses de taxis en moyenne à 80 000 Rp, c’est autant que de faire 300 bornes en train. Mais ça reste vraiment raisonnable (même à Bali, on avait payé 150 000 Rp, soit 5 € pour faire 20 km). Dans certaines villes on trouve encore des calèches à cheval comme à Yogyakarta mais ce sera plus certainement le becak, sorte de pousse-pousse à vélo qui sera le transport local par excellence.
Suggestion minimum de budget journalier / personne – 25 € (Note: budget pour des vacances à budget moyen, avec hôtel 1* ou 2*, sinon plutôt guesthouses; repas essentiellement dans des restaurants simples et utilisation des transports en commun majoritaires. Quelques visites payantes mais pas trop)
Mes articles sur mon séjour en Indonésie.
Après 3 semaines de vacances à couper le souffle, il était malheureusement temps de repartir. Très très beau voyage, on
Pour cette deuxième partie de journée, et pas n'importe laquelle puisque c'est notre dernière en Indonésie, nous décidions de rendre
Pour clore ce séjour à Bali et par la même occasion en Indonésie, nous ne pouvions manquer le fameux Tanah
En ce 17e jour, la fatigue se fait sentir, on prit donc le temps de traîner en cette matinée et
Ce jour, je décidais de faire une boucle en partant de Ubud (oui, car madame se laisse transporter
Pour les raisons évoqués lors de la présentation de notre hôtel sur Ubud, je précise que nous l'avions choisi en
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31/07/2019