Lampang, une charmante étape sur la route de Chiang Mai
Lampang est une ville du nord de la Thaïlande, souvent visitée au passage sur la route menant à Chiang Mai voire Chiang Rai. Niché dans le bassin où coule paisiblement la rivière Wang, à 100 km au sud-est de Chiang Mai (et quelque 600 km de la capitale, Bangkok), Lampang fut une citée prospère il y a de ça un peu plus de 100 ans, alors que le commerce du bois de teck battait son plein.
Le bois n’étant pas sa seule source de revenus, car la ville était aussi réputée pour ses céramiques et plus récemment pour sa mine de charbon. Lampang est considéré avant tout comme un lieu de visite résolument plus culturel que pour sa nature, où se trouvent certes des montagnes verdoyantes, mais qui n’ont pas autant de charme que celles plus au nord.
Pour autant, on y trouve des temples absolument uniques, dont le plus fameux est le Wat Phra That Lampang Luang, qui mêle habilement les architectures Lanna et l’influence Birmane. Mais l’idée ici étant de vous montrer ce qu’il est possible de voir dans la ville elle-même, qui se fait largement voler la vedette par Chiang Mai malgré un charme indéniable.
Comme un air d’antan
Dans la vieille ville, on y retrouve une atmosphère particulière et paisible. Les calèches à chevaux circulant autour y étant pour quelque chose. Même les songthaews, ces taxis particuliers utilisant des pick-ups comme transport en commun font partie du décor, ici, ils ont comme dans chaque ville leur petite couleur propre à Lampang, en jaune et vert ou également en bleu.
Lampang est connue pour abriter un nombre important de bâtiments anciens, maisons en bois de teck, vestiges de ce passé glorieux de Lampang, bien que celle-ci reste aujourd’hui une ville assez importante dans le nord de la Thaïlande (60 000 habitants).
La belle de gare de Lampang
On notera aussi la gare de Lampang, considéré comme l’une des plus belles de Thaïlande. Un mélange d’architecture européenne (Allemand-Art Nouveau pour être plus précis) et Lanna dont sa conservation exceptionnelle a été reconnue par une association d’architecte sous patronage royal.
Comme n’importe quelle gare de Thaïlande, l’ambiance y est particulière avec comme un air d’antan. Au moment de ma visite, un train arrivait justement en gare, permettant de voir le balai des sifflets et drapeaux des agents.
Baan Sao Nak
Baan Sao Nak, qui veut dire la maison aux multiples piliers (Nak étant le mot pilier, mais dans le dialecte local). Le nom est simplement dû au fait que cette grande bâtisse en bois de teck est bâtie sur pilotis, ce qui reste classique pour des constructions de ce type en Thaïlande. Mais sa particularité vient que du fait de sa taille, c’est pas moins de 116 piliers nécessaire pour la soutenir !
Baan Sao Nak se visite moyennant une entrée à 50 bahts, donnant droit à une dégustation de thé (Bon, faut aimer parce que c’est un goût particulier…) et des biscuits.
Construite en 1895 par un riche marchands d’origine Birmane Mong Chan Ong et son épouse) dans un style mêlant l’architecture Lanna et Birman (la terrasse devant notamment), cette demeure est toujours la propriété des descendants Mong Chan Ong.
Désireux de préserver leur héritage, ils ont entamé d’importantes rénovations dès 1964 pour remplacer et solidifier les fameux piliers, il aura fallu 10 ans pour compléter ces travaux de remise en état puis ils ont eu l’idée de la faire visiter pour partager cet héritage à tous. On y trouve à l’intérieur des photos des membres de la famille datant de diverses époque ainsi que bon nombre d’objets et meubles anciens.
Pour l’anecdote, le grand arbre devant à droite de la maison, qu’on appelle un Saraphi, est plus ancien que la maison elle-même et dépasse les 130 ans au compteur.
À côté de la maison, vous avez une petite boutique de souvenirs et de quoi vous rafraîchir avec des boissons. Dans le jardin, se trouve un autre bâtiment en bois sur 24 pilotis. Il s’agit d’un ancien entrepôt à riz. Il date de la même époque que la maison, mais n’est pourtant pas celui d’origine, qui a été enlevé et remplacé par celui-ci, en meilleur état. Remarquez la calèche entreposée en dessous même si ce n’est pas considéré comme un garage.
Pour la dégustation de thé et les petits gâteaux, c’est sous la maison au milieu des piliers que vous serez servi par la propriétaire elle même.
La maison de Louis T. Leonowens
Non loin de là et bien caché, vous pouvez si vous vous en sentez l’envie voir la maison de Louis T. Leonowens. Si ce nom vous dit quelque chose (on sait jamais), c’est qu’il était le fils d’Anna Leonowens, qui fut la préceptrice et professeur d’anglais pour les nombreux enfants du roi du Siam, king Mongkut (Rama IV je rappelle) entre 1862 et 1867.
Si cela ne vous dit pas grand chose, regardez le film Anna et le roi, avec Jodie Foster dans le rôle d’Anna. Notez que ce film de 1999, tiré d’un roman de 1944 et basé sur les mémoires d’Anna étant romancé, elle est bannie en Thaïlande. L’histoire impliquant une histoire d’amour relatif entre Anna Leonowens et le roi Rama IV dans le film, quand la relation est resté purement professionnelle pour les autorités.
La rue du vieux marché : Talad Gao (Kad Kong Ta)
La rue du vieux marché est un peu comme un musée à ciel ouvert. Aussi connue sous le nom de Kad Kong Ta, elle est situé à côté de la rivière Wang en plein coeur de de Lampang. C’était un peu l’ancien quartier des affaires de Lampang, également connu sous le nom de Thanon Talad Gao (ถนน ตลาด เก่า) qui signifie donc, vieux marché.
En l’occurrence, il était connu comme le marché chinois, au début du XIXe siècle, alors que des hommes d’affaires venus de Thaïlande, de Chine, du Myanmar, et même du Royaume-Uni sont venus pour faire des affaires notamment dans l’exploitation forestière. Le long de cette artère, on peut croiser un bon nombre de vieilles maisons en bois, mais aussi des structures en dur. À commencer par le Ratchada Bridge.
Tout au bout de l’artère, vous trouverez ce pont en arche datant de 1894 (d’où le fait que ce ne soit pas très large). Simplement surnommé le pont blanc, difficile de croire qu’il fut en son temps le plus long pont de Thaïlande avec ses 120 m traversant la rivière Wang, qui longe Talad Gao derrière (pour rappel, le premier pont de Bangkok, le Memorial Bridge et sa structure en acier verte traversant le Chao Phraya, ne date que de 1932).
C’est à côté de vous pourrez goûter le meilleur Khao Soy que j’ai pu tester à ce jour. Le Khao Soy est un plat typique du nord à base de nouille de riz, d’un curry jaune (un peu relevé, mais normalement ça va) et d’une cuisse de poulet.
Autre point concernant la vieille ville de Lampang. Celle-ci a l’air aussi de se lancer dans la mode des « street art« , des peintures murales permettant d’ajouter une dimension « fun » si vous voulez toute les dénicher. Sachant que je ne sais pas combien il y en a à ce jour, mais je n’ai été qu’autour de Talad Gao (Old Street Market), où j’avais pu en repérer quelques unes.
Les vieilles battisses de Talad Gao
La plus célèbre de ces anciennes bâtisses est le Moung Ngwe Zin Building, propriété d’un ancien Birman ayant travaillé pour le compte des Britanniques dans l’industrie forestière. Cette maison de 1908 dont la structure principale est en bois de teck, possède un balcon et une architecture typique Birmane (et probablement influencé par les Britanniques). Sa façade blanche aux poutres apparentes contraste particulièrement avec le style habituel des maisons en Thaïlande.
C’est très photogénique et occulte du coup la maison en face, la maison de la famille Kanchanawong. Là encore, un riche marchand Birman en est à l’origine. L’architecture rappelle le style sino-portugais et les habitations des rues de Georgetown à Penang ou de Phuket Town, ville principale de l’île éponyme.
Datant de 1905, c’est un mélange de style chinois et birman, avec son balcon décoré de motifs à fleurs. La maison voisine est de style similaire en plus sobre.
Plus loin, vous pourrez voir une autre maison sur 2 étages datant de 1918, Baan Mae Daeng, rénové sobrement et non transformé en hôtel ou restaurant, ce bâtiment possède de belles sculptures sur bois sous les combles et sur le balcon. En face se trouve 2 belles maisons en bois de style Thai sur pilotis et une autre en peu en retrait plus grande de style plus occidental. A côté, un autre bâtisse en bois pas vilaine.
Quelques mètres plus loin vous passerez devant un autre bâtiment à 2 étages datant de 1913, Yean Si Tai Li Ki Building (aussi orthographié Yan See Tai Lee Kee). Cette fois construit par un riche marchand chinois utilisant cette bâtisse comme un grand commerce. C’est donc un style chinois avec un mélange d’éléments baroques, le toit et les portes sont magnifiquement gravés même si mal entretenue. Pour l’anecdote, ce bâtiment appartient aujourd’hui à deux propriétaires différents, du coup, la peinture du mur extérieur sépare le lieu en deux couleurs différentes.
Si vous poursuivez jusqu’à l’entrée du temple Wat Ko Wasukaram, vous verrez au coin une imposante demeure trônant au fond d’un beau jardin, Baan Komsom. Construite en 1917, cette maison fut mise en oeuvre par une société de construction chinoise tandis que l’architecte était étranger.
Enfin si vous allez jusqu’au bout de la rue Talad Gao, vous passerez d’abord devant le centre d’art, aménagé dans une maison en bois sur pilotis de style Thai puis vous retrouverez face au Fong Li Building. Rénové et aujourd’hui converti en un café et hostel, The Prink, il passerait presque anodin dans le sens moins ancien vu son état remarquable. Pourtant, ce bâtiment sur 2 étages dont la terrasse de l’étage est couverte de panneau en bois avec volet est l’un des plus anciens de Lampang puisque le début de sa construction remonterait à 1891.
Si Talad Gao est un concentré de vieilles demeures, et que vous aimez ça, vous pouvez toujours aussi vous balader le long de la rue parallèle, Thipchang, qui possède de beaux restes. Vous pourrez alors notamment voir Baan Sinanon au bout, construit en 1919, c’est une villa du marchand chinois Sui Lee Sang, un bâtiment de deux étages de style italien.
Vous avez aussi passer par la rue perpendiculaire, reliant Thipchang et Talad Gao. La rue Tippawan inclut Baan Boriboon, racheté par une fondation désireuse de préserver ce patrimoine, elle a été rénovée 2 années durant il y a quelques années pour devenir un centre dédié à l’art (le Lampang Performing Arts Center). En face, se trouve un ensemble de vieilles maisons en bois du plus bel effet.
Je pourrais aussi citer la maison Jantaraviroj ou même des bâtiments sans nom à l’état parfois dégradé, mais qui font de Lampang, l’une des villes de Thaïlande avec la plus grande concentration de bâtiments anciens.
Pour vous repérer, voici une carte mise à dispo par la municipalité résumant la rue et ses principaux bâtiments, cités dans cet article :
Les temples intéressants à Lampang
Il y a aussi plusieurs temples intéressant à visiter à Lampang.
Wat Phra Kaew Don Tao Suchadaram
Je ne peut pas trop vous parler de ce temple car je n’ai jamais pris le temps de le visiter, c’est pourtant le temple principal à Lampang, et pour cause, vu le nom cela pourrait vous mettre la puce à l’oreille, ce temple, construit dès le 14e siècle, a abrité le fameux Bouddha d’émeraude de 1434 à 1468 et aujourd’hui présent dans le temple royal du Grand Palais à Bangkok.
Wat Pong Sanuk Nua
C’est un temple qui pourrait passer inaperçu tant il y en a en Thaïlande, mais celui-ci se démarque rien que par son nom, en effet, Pong Sanuk peut se traduire par « le clan des marrants »… oui oui, ça ne s’invente pas ! Enfin si, pour nommer ce temple, ce qui se serait fait du fait du nom de la communauté nouvellement venue s’installer dans le coin.
Le temple aurait été établi dès la fondation de Lampang au 7e siècle et c’est par ailleurs là que se situait à l’origine le pilier sacré (sorte de sanctuaire vitale dans une ville puisque censée la protéger des intempéries et trouble politique). Vous retrouverez le « traditionnel » escalier bordé par le naga et serez alors au pied du chedi doré, à côté duquel se tient un pavillon en bois au charme indéniable. En forme de croix à la base et avec un toit en étages, ce pavillon mélange les styles Lanna, Birman et Chinois.
À côté vous aurez le Viharn Phra Chao Phan Ong dans lequel se trouve un Bouddha allongé. Le bâtiment principal en contrebas et lui, moins remarquable si ce n’est l’hyper réaliste statue d’un moine en cire, commun en Thaïlande. Vous avez aussi un petit musée de l’autre côté appelé le pavillon aux milles bouddhas car il y a des milliers de statuettes sur les murs de celui-ci.
Wat Chai Mongkol
À ne pas confondre avec le temple au nom similaire situé à Ayutthaya, vous pouvez aussi l’appeler Wat Jongka. Ce temple là est particulier non pas pour son lieu de prière mais plutôt son lieu de vie. Le bâtiment où séjourne les moines, appelé Kuti, est une bâtisse de 2 étages en ciment surmonté d’un beau toit à étages de style Birman.
À l’intérieur se trouve un Bouddha en bronze moulé à Mandalay au Myanmar, un plafond en bois décorés de sculptures dorées et un moine prêt à vous accueillir. Pour une raison que j’ignore, le site autour du temple était autrefois entouré d’un jardin, avec arbre pelouse, etc. bref un jardin quoi.
Aujourd’hui, c’est comme un désert autour, tout a été enlevé. Se pose alors la question, est-ce qu’un promoteur immobilier aurait la main basse sur ce temple (sachant qu’il y en a un autre juste en face, le วัดป่าฝาง, ou Wat Pa Pong sachant que je n’ai pas trouvé de translittération « officielle »).
Quand j’avais posé la question au moine, il avait l’air de dire que non, c’était juste que les arbres étaient malades et qu’ils ont tout viré…
Wat Si Rongmuang
Un temple centenaire construit en bois de teck par des immigrés Birmans et par conséquent reprenant l’architecture Birmane ou plus exactement de style Shan vu que ceux-ci provenaient de cet état du nord de la Birmanie.
L’une des différences majeure étant l’orientation horizontale du bâtiment, quand le style Lanna ou Rattanakosin, à la mode du côté de Bangkok est plutôt basé sur une façade avant avec le prolongement du bâtiment à l’arrière comme les viharn classiques qu’on peut voir partout en Thaïlande.
Richement décoré et avec quelques pointes de style Lanna, le Wat Si Rongmuang, aussi connu sous son ancien nom Wat Ta Kanoi Burma (je vous avais dit que c’était compliqué les noms…), l’intérieur vaut le coup d’oeil.
Wat Ko Wasukaram
En bonus, si vous venez voir la rue du vieux marché (ce que je vous conseille), vous pourrez toujours jeter un œil au vieux temple longeant la rivière Wang, qui possède notamment une belle structure en bois, certes un peu délabré (mais vu l’évolution du temple, je pense qu’ils ne devraient pas tarder à la rénover).
Infos pratiques
Comment se rendre à Lampang
Sachant que c’est la 2e ville d’importance dans le nord, elle est très bien desservie.
– Elle possède un aéroport, accessible via Bangkok Airways ou Nok Air.
– La ligne de train Bangkok – Chiang Mai passe par Lampang
– Les bus auront en général une liaison direct vers Lampang depuis les principales villes du pays, Chiang Mai, Phitsanulok (proche de Sukthothai), Bangkok pour ne citer que celles-là.
Où dormir à Lampang
J’ai testé à ce jour plusieurs hôtels à Lampang. 2 étant plutôt en ville tandis qu’un autre était plus en extérieur. Étant véhiculé, c’est vrai que j’étais moins regardant sur l’emplacement précis, car il serait éventuellement plus intéressant de trouver une petite guesthouse proche de la vieille ville.
Pas testé, mais je voulais l’inclure dans cet article, je suis tombé sur un boutique hôtel sympa, non loin de la gare de Lampang, le Karpenter Lampang, situé dans une superbe maison dont l’extérieur est couvert de planches de bois du plus bel effet.
Il a bonne réputation, possède un bon petit déj et une chambre confortable, en bref, il faudrait que je le teste et c’est à partir de seulement 34€.
Pour aller plus loin : quelques attractions dans la province de Lampang
Wat Chaloem Phra Khiat
Un peu à l’écart au nord de la ville de Lampang (60 km), vous trouverez le Wat Chaloem Phra Kiat Phrachomklao Rachanusorn, de son nom complet. Il est aussi connu sous le sobriquet de Wat Phra Bat Phu Pha Daeng, lorsque je m’y rendais pour la première fois. C’est un temple offrant une superbe vue sur les montagnes environnantes. Situé dans le district de Chae Hom, le long de la route 1035, il est plus intéressant de s’y arrêter si votre prochaine étape est Chiang Rai.
Cela reste envisageable d’y faire un tour depuis Chiang Mai sur une journée en combinant la visite avec la vieille ville de Lampang, le temple Wat Phra That Lampang Luang et éventuellement en ajoutant les sources d’eaux chaudes du parc national de Chae Son, en faisant une boucle Chiang Mai – Lampang – Wat Phra Bat Phu Pha Daeng – Chae Son – Chiang Mai par exemple (se faisant, ça représente quand même 300 km dans la journée, je tiens à préciser).
Je ne vais pas détailler plus ici puisque j’ai écris un article entier sur ce temple là :
Wat Chalermprakiat : un temple atypique dans la région de Lampang
Des parcs nationaux et autres sites naturels
Je ne vais pas détailler, car je cible volontairement cet article sur la vieille-ville. J’écrirais un jour un article dédié sur la province lorsque j’aurais pu la parcourir un peu plus, mais je lance une piste pour ceux qui voudrais creuser un peu en dehors de la ville et découvrir la région.
Pour résumer donc, on peut citer 2 parcs nationaux, le Chae Son national Park, connu pour ses sources d’eau chaude et le Doi Khun Tan, chaîne de montagnes séparant la vallée de Lampang et celle de Chiang Mai. Ce parc est surtout célèbre auprès des Thaïlandais pour son plus long tunnel ferroviaire (1362 m) le traversant que pour ses balades natures et cascades.
Pour les curieux, vous pourrez jeter un œil à la grotte de Pha Thai et son impressionnante stalactite millénaires (estimé à 9 millions d’années) à 65 km au nord de la ville (en suivant la route principale vers Chiang Rai), ainsi qu’au lagon d’émeraude Lom Phu Kiew quelques km plus haut encore (similaire dans l’idée à la « emerald pool » de Krabi).
Vous l’aurez compris, il y a de quoi faire si l’on cherche vraiment, comme toutes les provinces de Thaïlande au final. Mais la ville reste déjà un bon point de départ pour sortir un peu des visites classiques du nord menant quasi tout le monde à Chiang Mai uniquement.
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anonyme
Tres jolie photos.
Tres beau parcours
Romain
Merci beaucoup !
Beatrice
Bonjour,
Très tentant ce « temple dans les nuages »… Une question cependant: les escaliers sont ils vertigineux genre suspendus dans le vide le long de la roche comme en Chine? ou bien cela correspond tout du long à la photo des escaliers en fer rouge? Je voudrais me faire une idée pour voir si ça passe à mon niveau…Merci 🙂
Romain
Bonjour Béatrice,
Je vous rassure tout de suite, c’est tout le long comme sur la photo, rien de vertigineux donnant sur le vide 😉
Beatrice
Merci Romain… C’est acquis dans le parcours!! 😀 Bien hâte
Genet
Merci beaucoup pour toutes ces informations partagées, je prépare actuellement mon deuxième voyage en asie du sud est et tes conseils me permettrons de découvrir encore plus la thailande.
Beatrice Durieux
Bonjour, voilà je suis revenue de voyage. Effectivement, c’est très abordable, sans vertige, et la montée n’est pas très longue, un peu raide parfois mais des escaliers en fer tout du long. J’étais étonnée d’être déjà en haut… Venir tôt ou tard, il y a très vite foule sur ces petits espaces. Mais c’est magnifique 🙂 Merci encore
Romain
Tout le plaisir est pour moi, c’est la le but du blog et je suis content de vous avoir fait découvrir ce bel endroit !
Kervarec
Merci pour la qualité et la précision des informations
Mana
Merci pour ces superbes commentaires sur un pays qui m’est cher
Romain
Avec plaisir !