Nous partons cette fois ci direction le sud, à nous les cocotiers et le sable blanc mais cette fois ci point de voiture mais l’avion direct vers Nakhon Si Tammarat où nous passions dire bonjour à la famille de Jitima que nous rejoignions là bas, avant de nous rendre à Surat Thani prendre le ferry pour Ko Phangan, ou personnellement nous n’étions pas revenu Jitima et moi depuis la dernière fois il y a de cela déjà 4 ans.
Passage express à Khanom avec la belle-famille
Arrivé à la maison, salutation à ses parents, tantes/oncle, sœur et tutti quanti, puis nous partions manger quelque part entre Nakhon et Surat Thani (j’apprendrais plus tard qu’il s’agit de Khanom), au passage nous nous arrêtions dans le resort tenue par la demi soeur de Jitima qui au passage offrait à mes parents de rester dans la suite (avec piscine privée attention !) gratuitement lors de leur prochain séjour en Thaïlande.
Ferry pour Ko Phangan


Arrivée à Ko Phangan
A moi le repos, enfin ! Cela paraît un peu ironique mais pourtant vrai, l’air de rien voyager dans le nord c’est beaucoup de marche à pied et plus de 3000km de conduite c’est pas de tout repos ! Là c’est le sud, si des visites sont quand même bien au programme cela se fera majoritairement en parcours sur scooter plus qu’en marche à pied, et la plage lieu de détente incontournable ne sera pas de refus.

C’est là en revanche que je constate une différence d’avec il y a 4 ans : il y a beaucoup de Birmans sur l’île. Entre les gérants de resort et les employés des restaurants, ils en arrivent à proposer des plats birmans sur les cartes… Mais il y a un inconvénient non négligeable…. puisque certains ne maîtrisent pas le thaï voire ne le comprennent pas du tout !
Cela donnait une scène qui au début l’amusait, mais a fini par agacer Jitima, et pour cause ! Dans son propre pays, elle se retrouvait à ne pas pouvoir commander des plats dans sa langue, comme ce cas face à un serveur qui ne pipait mots… Un comble ! Imaginez en France que vous commandez votre petit repas sans vous faire comprendre !
Si les premières fois cela ne la gênait pas plus que ça, c’est parce qu’elle pensait à une exception, mais il s’avéra qu’en cumulant la location du scooter à devoir parler Anglais avec un proprio évidemment Birman, puis le cumul de tous les restaurants qui s’avéraient presque tous, sans exception, être des Birmans, au bout d’un moment ça passait plus…


