Sangkhlaburi jour 2 après-midi : balade sur le lac et découverte du temple immergé

Avant de partir en vadrouille nous retournons vers nos quartiers nous changer (la chaleur revient)

La partie en renovation gache un peu le plaisir photogenique du lieu.

Nous voila donc sur le long boat, offrant ainsi une nouvelle vue sur l’ensemble du pont (et notre hotel…)

Notre petit guide en pleine contemplation.

Au rythme de l’eau.

Dépassant les arbres on aperçoit une partie du nouveau temple.

Le village s’étend le long entre le pont et le nouveau temple.

Notre guide.

Et voila le fameux temple qui est tout ce qui reste dans l’ancienne ville, déplacée sur les collines avoisinantes. Bien qu’étant encore au début de la saison sèche le niveau est déjà bien bas.

Comme j’aime les comparaisons voici le niveau presque max a gauche et un niveau intermediaire a droite.

En arrivant on se fait assaillir par des jeunes vendant des fleurs, bougies pour une prière dans le temple.

Il ne reste que deux bâtiments encore debout…

Il fut un temps où les parois étaient recouvertes de petites alcôves contenant chacune un petit bouddha.

Un détail.

Bien qu’il ne reste plus rien (plus grand chose disons) le temple reste vénéré et un lieu de prière.

Vue d’ensemble du site.

De retour…

… vers le pont.

Un petit peu plus loin se trouve un trouve pont, moderne celui ci, et la rivière se retrouve déjà rétrécie.

D’ici il y a un superbe panorama sur toute la vallée.

On prendra le temps tout de même de visiter le nouveau temple dont on apercevait le chedi depuis la rivière.

Inscription en Thai et en Shan (écriture proche du Birman mais qui se différencie).

Pourtant récent (20ans) celui ci est déjà en mauvais état faute d’entretien adéquate (manque de dons)

Un peu plus loin (1km a peine) se trouve un autre temple, toujours
dans le style Birman.

On peut y voir des photos du temple que nous venions de visiter en ce début d’après midi.

Un « arbre » à 100.000 bahts ! (c’est une estimation, j’ai « grossièrement » compté…) et il y en avait deux comme ça…

Devant il s’agit d’une statue très réaliste en cire d’un moine connue et important de la région, derrière dans ce magnifique ornement de bois et d’or fin se trouve le corps de celui ci, étonnamment bien conservé, la croyance bouddhiste expliquant son état parce qu’il a pu atteindre le « nirvana ».

Dans un autre bâtiment.

Passage au col des 3 pagodes

Ayant fait le « tour » de Sangkhlaburi même, et tout en étant à la recherche désespéré d’une station essence (y’en a pas à Sangkhlaburi même), on décidait d’aller faire un petit tour à la frontière avec le Myanmar (ou Birmanie donc). Un poste-frontière connu sous le nom de « col des 3 pagodes » (ou en anglais Three Pagodas Pass).

Comme c’est une petite ville plus animée, parce que frontalière (même si elle est plus importante côté Birmanie), je pensais qu’on aurait plus de chance de trouver une station là-bas. Au final, y’avait une station peu après un carrefour entre la route principale par laquelle on était arrivé à Sangkhlaburi et celle menant vers le col des 3 pagodes, donc dans le fond, c’était le bon moove 😉

… que voici.

Celles ci étaient très abîmées il y a de ça quelques années.

Après rénovation.

Pour l’info du jour, la Birmanie venait de changer de drapeau en Octobre 2010, le drapeau actuel, en a dérouté plus d’un de par ses couleurs très « africaines » (le choix serait fait par des astrologues…), le précèdent ayant été tout simplement brûlé…

Retour en ville et soirée feux d’artifices

Il n’y a que 25 km entre le col des 3 pagodes et Sangkhlaburi, on était donc de retour en ville après une petite demi-heure de trajet. Il nous restait à passer la soirée, notre dernière de cette année 2010.

Retour en « ville ».

Jitima se fait une pause peinture.

Pendant ce temps, 2 oiseaux se font la cour.

Après une fin d’après midi à se reposer sagement nous voilà à
quelques minutes de 2011.

Les fusées « fusent ».

Et les lanternes qui montent dans le ciel ajoutent des « étoiles » au
ciel plutôt sombre.

Et voila nous y sommes. BONNE ANNEE 2011 !

Au moment où j’écris ces lignes je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée pour le Japon qui traverse un évènement terrible…