En ce dernier jour de 2010 nous nous levons de bonne heure pour essayer d’assister aux donations faites aux moines. Dur dur de se lever très tôt et nous arrivons pas a être prêt avant 7h… (pour ceux vraiment intéressé, essayez plutôt vers 5h-6h) Une « surprise » nous attendait ce matin la, le brouillard s’est invité et ce fut une des rares fois en Thaïlande et j’ai eu l’occasion de mettre un pull, qu’on avait prevu car on s’attendait a du frais, c’est quand meme « l’hiver » aussi ici ne l’oublions pas !
Véritable purée de pois ou l’on ne voyait pas la rive d’en face.
Pour les moines, à peine 7h et c’était en gros le dernier (le seul que l’on verra)
Avec ces arbres morts trônant ça et là au milieu de la rivière et le brouillard, le tout donne un aspect très fantomatique à la scène.
Une partie du pont est le seul élément que l’on distingue dans un environnement proche.
Pour ceux qui auraient une petite faim il y a toujours quelque dans les parages.
Et comme je le disait précédemment, il y a aussi un mélange indéniable de cultures.
Les habitants locaux sont facilement reconnaissable, notamment les hommes portent souvent le sarong (tissus enroule qui fait office de « pantalon » bien que cela soit plus comme une
jupe)
On arrive dans la partie « village birman ».
La poudre sur le visage est une des caractéristiques typique des birmans (pour protéger la peau des rayons du soleil entre autre)
Pour tout achat « souvenirs » et plats locaux c’est ici que ça se
passe.
Les enfants, bien que timides au premier abord, apprécieront généralement d’être pris en photo (et de voir le résultat surtout !)
Et hop, à moto !
Petite échoppe locale, arrivé là il n’y a déjà plus aucun touriste,
qui ne vont guère plus loin que juste après le pont…