
Wat Rong Khun : l’incontournable temple blanc de Chiang Rai
Wat Rong Khun, mieux connu sous le nom de « temple blanc » est l’un des temples les plus reconnaissables en Thaïlande. Située à 13 km à l’extérieur de la ville de Chiang Rai, il est souvent la raison première de la venue des touristes dans la région et attire un grand nombre de visiteurs, thaïlandais comme étrangers.
Mais connaissez vraiment toute la symbolique et le pourquoi de ce bijou de l’architecture et du savoir faire Thaïlandais ?
Les origines du Wat Rong Khun
Le Wat Rong Khun, plus connu sous le nom de Temple Blanc, est une œuvre unique imaginée par l’artiste thaïlandais Chalermchai Kositpipat, natif de Chiang Rai. Déjà au sommet de sa carrière au milieu des années 1990, Chalermchai souhaitait à la fois rendre hommage au roi Bhumibol (Rama IX) et offrir une attraction exceptionnelle à sa ville natale. Le projet débuta en 1996, sur les ruines d’un ancien temple, mêlant son ambition personnelle à une quête artistique et spirituelle.
Plus qu’un simple lieu de culte, le Temple Blanc est une œuvre d’art à part entière, où l’architecture traditionnelle thaïe se mêle à des éléments contemporains audacieux. Chaque détail, des sculptures aux fresques, illustre des principes bouddhistes tels que le karma et l’éveil, tout en intégrant des références surprenantes à la culture populaire et aux enjeux de notre époque.

Chalermchai Kositpipat himself, j’avais eu la chance de le rencontrer lors d’une interview réalisé en 2011 quand je bossais encore dans l’audiovisuel.
Une ambition monumentale
Grâce au Wat Rong Khun, Chalermchai a permis à Chiang Rai de briller sur la scène internationale, dans une région qui, à l’époque, peinait encore à se remettre des conflits liés au commerce de l’opium dans le Triangle d’Or. Aujourd’hui, le temple est l’un des sites les plus emblématiques et visités de la Thaïlande.
Ce projet monumental représente un défi colossal, tant sur le plan artistique que financier. Chalermchai a déjà investi plus de 40 millions de Bahts (plus d’un million d’euros) de sa fortune personnelle, tout en refusant de gros financements, notamment étatiques, pour préserver son indépendance créative. Il estime que le complexe ne sera achevé qu’en 2070, faisant du Wat Rong Khun une œuvre en perpétuelle évolution.
Les défis et l’héritage
En 2014, un tremblement de terre majeur a failli compromettre ce chef-d’œuvre, causant des dégâts significatifs. Cet événement a suscité une vive émotion en Thaïlande, tant le temple est devenu un symbole national. Heureusement, après deux ans de travaux, la structure a été consolidée, et le temple a pu rouvrir intégralement, poursuivant ainsi son rôle de joyau artistique et spirituel.


Longtemps gratuit, le site est aujourd’hui accessible pour 100 Bahts. Cette décision, prise par le comité de gestion, vise à améliorer les infrastructures pour accueillir les nombreux visiteurs et garantir l’entretien du complexe après la disparition de son créateur. Malgré ce changement, l’artiste reste fidèle à son projet initial : faire du Wat Rong Khun un lieu d’apprentissage bouddhiste et de méditation, bien au-delà de sa fonction de simple attraction touristique.
Architecture et symbolique du temple blanc
Histoire de comprendre un peu ce qui vous entoure, je vais aborder ici la symbolique derrière les statues et figures que beaucoup trouveront juste « amusantes », mais sans saisir le message caché derrière.
Tout d’abord, il est important de comprendre que la blancheur caractéristique du temple, qui fait sa renommée, symbolise la pureté du bouddhisme. C’est cette même pureté qui est représentée par le blanc dans le drapeau thaïlandais (avec le bleu pour la royauté, et le rouge pour le peuple).


Chalermchai Kositpipat, son créateur, a voulu concevoir ce lieu comme une incarnation terrestre du paradis, un refuge spirituel invitant les humains à s’élever au-dessus des préoccupations matérielles.
Derrière les sculptures fascinantes et parfois déroutantes, se cache en réalité une réflexion profonde de l’artiste, mêlant tradition et modernité. Pour autant, le temple ne se limite pas aux symboles bouddhistes classiques ; et pour toucher notamment un large public, il intègre volontairement des références surprenantes à la culture populaire contemporaine.


C’est pourquoi vous verrez par exemple, des pots suspendus dans les arbres arborant les visages de personnages iconiques du cinéma hollywoodien – héros comme méchants.
À l’intérieur de la chapelle principale, où les photos sont interdites, les visiteurs découvrent une fresque étonnante mêlant figures historiques, héroïques et catastrophiques. Superman, Neo de Matrix, ou encore Alien côtoient des représentations comme les tours jumelles du World Trade Center en feu.
Chaque détail illustre les luttes de l’humanité contre les forces destructrices de l’ego, des désirs et de la cupidité. L’artiste continue d’ajouter des personnages au gré des sorties de films, faisant évoluer son œuvre en permanence.
Le temple, dans son intégralité, est conçu comme un voyage spirituel. Les sculptures, les fresques et les passerelles symbolisent la quête pour échapper aux tentations mondaines et se concentrer sur l’essentiel : l’esprit. Chalermchai invite ainsi chaque visiteur à réfléchir sur les enseignements bouddhistes et à trouver sa propre voie vers l’éveil.
Enfin dernière petite info, vous remarquerez que le temple et les structures le décorant sont recouverts de petit morceaux de verre semblable à des miroirs. Ils représentent la sagesse et les enseignements du Bouddha, rayonnant dans tout l’univers.
Le pont du « cycle de la renaissance »
Pour atteindre l’Ubosot, le bâtiment principal du temple blanc, il faut traverser un passage singulier, chargé de symbolisme. Autour de ce pont, des crânes et des centaines de mains tendues vers le ciel semblent surgir des profondeurs, évoquant le désir insatiable et la souffrance humaine, symboles de l’enfer et des tourments terrestres.
Ce « pont du cycle de la renaissance » représente le passage hors du cycle de la mort et de la réincarnation. Il invite à dépasser les tentations et la cupidité pour atteindre une existence libérée de la souffrance, amorçant ainsi un chemin spirituel vers la pureté et l’éveil.


La « porte du paradis »
Après avoir traversé le pont symbolisant la traversée des souffrances terrestres, le visiteur se retrouve face à ce qui est nommé la « porte du paradis ». Celle-ci est gardée par deux imposantes créatures mythologiques : la Mort et Rahu. Ces deux figures puissantes incarnent le jugement et le destin des Hommes, décidant de leur sort après la mort selon leurs actions passées.
Avant de pénétrer dans le bâtiment principal, on longe un pont entouré de figures classique de Naga sur chaque côté. En observant autour, vous remarquerez plusieurs représentations de Bouddha en position de méditation, symbolisant la sérénité et l’atteinte de l’éveil, un rappel subtil du but ultime de la spiritualité bouddhiste.

La « porte du paradis ».

Bientôt le paradis !
L’Ubosot
Le bâtiment le plus important du Wat Rong Khun, l’Ubosot ou hall d’ordination, est un bâtiment tout blanc avec des fragments de verre réfléchissant dans le plâtre. L’Ubosot reprend des éléments de conception des temples thaïs classiques du Nord, comme le toit à trois niveaux.
Si d’ordinaire, les peintures murales à l’intérieur représentent des scènes de vie lié à l’histoire de Bouddha, ici, on y trouve des motifs colorées, et les personnages comme ceux évoqués plus haut, qui sont une représentation moderne du bien et du mal.
Au fond, à l’emplacement habituel, vous aurez une statue de bouddha en position assise. La variante étant que vous y verrez également une statue en cire d’un moine en position de méditation, bluffante de réalisme.


Les autres structures du temple blanc
Évidemment, le temple blanc ne se limite pas à l’Ubosot. En explorant le site, plusieurs autres bâtiments et éléments méritent qu’on s’y attarde. Avant de parler de lieux spécifiques, il est difficile de ne pas mentionner les jardins qui entourent le bâtiment principal. Avec ses bassins, ses petits ponts et ses structures encore en cours de décoration, le site dégage une atmosphère très photogénique.


L’artiste Chalermchai Kositpipat continue de perfectionner son œuvre (même s’il ne fait maintenant que superviser de loin, car il est officiellement à la retraite) et chaque visite peut révéler de nouvelles sculptures ou ajouts inattendus. Si vous avez la chance de revenir après quelques années, vous pourrez constater par vous-même l’évolution des lieux.
Un exemple concret ? Comparez les deux photos suivantes : bien que l’angle soit différent, le pont que vous voyez est bel et bien le même, mais les détails ont été enrichis au fil du temps.


Le bâtiment doré
Juste à côté de l’Ubosot, il est difficile de ne pas remarquer un bâtiment resplendissant, tout de jaune vêtu. Et même s’il ne s’y trouve pas que cela, il abrite probablement les toilettes les plus élégantes de Thaïlande ! Oui, vous avez bien lu, il s’agit avant tout d’un bâtiment consacré à cet usage.
Mais ici encore, tout a une signification. Si l’Ubosot blanc symbolise l’esprit, ce bâtiment doré représente le corps. Selon son interprétation, sa couleur dorée incarne l’obsession humaine pour les désirs futiles et la quête de richesse. En opposition, cette structure invite également à se recentrer sur l’esprit, plutôt que sur les possessions matérielles.
De quoi méditer quelques instants pendant votre pause… philosophique .


Le puits aux voeux et les arbres à donations
En parcourant le site, vous tomberez forcément sur un attroupement de visiteurs penchés autour d’un promontoire couvert : c’est là que se trouve le puits aux vœux, une attraction qui intrigue autant les petits que les grands. Le principe ? Faire un vœu en lançant une pièce et espérer qu’elle atterrisse précisément au centre du puits, où repose une structure en forme de lotus sous l’eau. Une tâche plus délicate qu’il n’y paraît !
Mais ce n’est pas qu’un simple jeu : si l’acte de jeter une pièce dans une fontaine ou un puits pour attirer la bonne fortune est courant dans bien des cultures, Chalermchai Kositpipat, fidèle à son approche symbolique, utilise ce dernier pour dénoncer subtilement l’avidité humaine.

Et plouf !
Autour du puits, vous remarquerez également des « arbres » garnis de feuilles dorées, suspendues ici et là, y compris au plafond de l’allée couverte qui longe le jardin entourant l’Ubosot. En y regardant de plus près, vous verrez que chaque feuille porte un nom, une date ou parfois un vœu laissé par un donateur. Un kiosque à proximité vous permettra, vous aussi, de participer à la préservation et au développement du temple, au-delà du ticket d’entrée.
Quand on sait que chaque feuille dorée suspendue représente une donation de 30 Bahts, et qu’elles s’accumulent par milliers (malgré des retraits réguliers pour faire de la place), on réalise vite l’importance de cette participation collective !

Les nombreuses feuilles de donations.
Cave of Art
La Cave of Art est l’un des ajouts récents au complexe du Wat Rong Khun. En avançant vers l’arrière du site, vous remarquerez un mur semblable à une roche naturelle, entouré de végétation luxuriante, sur lequel coulent de petites cascades. Ce décor intriguant abrite une grotte artificielle qui se visite.
D’après ce que j’ai pu lire, l’intérieur de la grotte offre une expérience immersive qui commence par une représentation de l’enfer, avant de guider les visiteurs vers une partie plus « paradisiaque », entourée de statues de Bouddha et accompagnée de jeux de lumière apaisants. Cependant, je n’ai jamais visité cet espace, et pour cause : l’accès à la Cave of Art nécessite un supplément de 50 bahts, non inclus dans le ticket d’entrée du Wat Rong Khun. Personnellement, je suis un peu réticent à l’idée de payer une attraction dans une attraction déjà payante.





Cela dit, libre à vous d’y jeter un œil. Vous pouvez voir cela comme une donation supplémentaire au projet artistique. Mais même sans y entrer, l’extérieur de cette zone se suffit à lui-même : les parois externes sont ornées de personnages surprenants, mêlant des figures de la culture thaïlandaise à des icônes de la pop culture, comme les Tortues Ninja ou Venom.
Juste avant la Cave of Art, vous aurez une cloche suspendue au-dessus d’un petit bassin, entourée d’une élégante structure dorée. À proximité, un espace ombragé aménagé sous un banyan (arbre aux multiples racines tombantes) invite à une pause. Une statue de Bouddha en position de méditation y est installée, offrant un moment de sérénité dans ce décor apaisant.


Golden Ganesha temple
Autour du temple
Le Wat Rong Khun est aujourd’hui une telle attraction que toute une économie s’est formée autour du temple. Vous trouverez donc de quoi vous restaurer, vous poser dans un café ou encore faire un peu de shopping dans une des boutiques de souvenirs en face du temple blanc.
Mais il y a au moins un endroit où vous devriez jeter un oeil avant de quitter les lieux.
Le musée de Chalermchai Kositpipat
À proximité immédiate du Wat Rong Khun, vous pourrez également visiter le musée dédié à l’artiste, appelé le Chalermchai Kositpipat Hall of Masterwork. Cette galerie permet de plonger dans l’univers créatif de l’artiste et de découvrir l’évolution de son style unique.
On y trouve une large collection de ses œuvres, depuis ses premières peintures réalisées à l’âge de 14 ans, jusqu’à des créations plus récentes. Ce parcours retrace l’émergence de son style si particulier, mêlant symbolisme religieux et représentations du pouvoir. En parallèle, vous pourrez admirer quelques-unes de ses sculptures, des amulettes, et des peintures dans des styles plus classiques, notamment une série captivante illustrant des destinations qu’il a visitées et interprétées en peinture.

Le musée est dans le bâtiment en face du temple (toit visible sur la gauche).
La galerie réserve aussi des surprises, avec des œuvres inattendues et parfois étonnantes en fin de parcours. Ça ne mange pas de pain d’y jeter un œil, d’autant plus que l’accès est gratuit. Certaines peintures valent réellement le détour, et c’est une belle façon d’enrichir votre visite du Temple Blanc tout en approfondissant votre compréhension de la vision de Chalermchai.
Une dernière surprise…
Le Wat Rong Khun est un temple qui ne se laisse jamais complètement découvrir, même après plusieurs visites. Pour preuve, un jour, j’y ai remarqué une activité étrange près de l’entrée : des trappes ouvertes et des ouvriers affairés. Intrigué, je pensais sur le moment à des travaux de maintenance, peut-être pour l’eau des bassins.
Mais en réalité, il s’agissait de cultures d’huîtres ! Est-ce pour récolter des perles et du nacre ? Probable, mais qui sait ! Ce temple, décidément, réserve toujours son lot de surprises.

Je rêve pas ce sont bien des huîtres !
Quand se rendre au temple blanc ?
Si l’on parle purement météo, le nord de la Thaïlande est propice aux visites presque toute l’année, à l’exception des périodes de février/mars et septembre/octobre.


Pour moi, le mois idéal reste novembre, où vous pourrez admirer les ciels d’un bleu profond, comme sur certaines des photos de cet article. C’est aussi la période de récolte des rizières qui donne de belles couleurs.
- Février à avril : Cette période combine chaleur intense, pic de sécheresse (rendant la nature terne), et brûlis agricoles qui provoquent une pollution atmosphérique importante, surtout en février et mars.
- Mai à août : Avec le mois de mai, la saison des pluies redémarre, mais elle est rarement un frein pour les visites. Les averses arrivent généralement en fin d’après-midi ou en soirée, et la nature redevient luxuriante. Les rizières, quant à elles, sont replantées dès juillet.
- Septembre/octobre : Attention, c’est le pic de la mousson. Le ciel est souvent gris, et les journées entièrement pluvieuses sont plus fréquentes.
Meilleurs horaires pour éviter la foule
- Tôt le matin (à l’ouverture) : Idéal pour arriver avant les groupes des tours à la journée depuis Chiang Rai.
- Fin d’après-midi (après 16h) : Une option intéressante pour éviter la foule et profiter d’une ambiance plus calme et bénéficier d’une belle lumière douce au coucher du soleil, parfaite pour les photos.
Globalement, la fin de matinée et l’après-midi peuvent être les moments les plus chargés, à cause des excursions organisées depuis Chiang Rai et également en provenance de Chiang Mai.



Comment se rendre au temple blanc
Le Wat Rong Khun se trouve au bord de la route nationale n°1 (Phahonyothin Road), à environ 13 kilomètres au sud-ouest de Chiang Rai. Quel que soit le moyen de transport choisi, le trajet depuis le centre-ville prend environ 20 minutes.
— Option économique : Depuis l’ancienne gare routière de Chiang Rai, située juste à côté du bazar de nuit, vous pouvez prendre un taxi collectif (songthaew). Le trajet coûte environ 20 Bahts par personne.
— Option confortable : Vous pouvez opter pour un taxi climatisé (bleu et jaune) ou privatiser un songthaew. Comptez entre 250 et 300 Bahts l’aller. La plupart des hôtels de Chiang Rai proposent d’organiser ce service pour vous.

Un songthaew bleu de Chiang Rai (devant le temple bleu en plus)
En carte : où se garer près du temple
Si vous venez avec votre propre véhicule, un parking gratuit est disponible sur la droite du temple. Attention, je ne parle pas du parking directement visible de l’autre côté de la route, souvent bondé de minivans et de bus touristiques. Celui-ci est plus discret : il faut emprunter la première route à droite, juste avant d’arriver à l’entrée principale du temple.
Pour plus de clarté, je vous ai préparé une carte indiquant les points d’intérêts mentionnés dans cet article, quelques recommandations pour manger à proximité, et bien sûr, l’emplacement exact du parking.
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Jean Claude
Bonjour Romain,
Merci pour vos articles super intéressants sur la Thailande . Je n’y suis plus retourné dans ce pays depuis le putsch des militaires en 2014. A priori le vent a tourné. Je suis actuellement à la retraite et je compte m’expatrier en Thailande. Je suis donc à la recherche de toutes les infos depuis les 1eres démarches administratives à faire à l’arrivée, l’imposition à payer, comment trouver un logement en Thailande, … etc… Tenez vous un blog traitant pour ce thème ?
Romain
Bonjour,
Si vous suivez l’actualité de près, malheureusement, je ne dirais pas que le « vent à tourné », ce n’est pas aussi simple… Pour les démarches, la première évidente, est la demande et l’obtention du visa retraite (O-A). L’autre démarche est d’obtenir une couverture santé, les soins coûtant cher, il est préférable d’avoir une bonne assurance ici. Pour les impôts, rien ne change, vous continuerez de payez vos impôts en France (le pays source de vos revenus) et n’aurez aucun impôts locaux. Pour le logement, vous avez des sites comme https://www.ddproperty.com/en qui proposent pas mal de logement à travers le pays.
À l’origine je pensais avoir une rubrique sur l’expatriation, mais du fait de mon parcours particulier et surtout le fait d’avoir préféré me concentrer sur le voyage, je n’ai donc pas plus d’infos sur le sujet (et encore moins un blog dédié). Il existait fut un temps un blog bien foutu mais apparemment il a disparu… Du coup, le blog et article qui vous aidera le plus dans un premier temps se trouve ici
Jean Claude
Bonjour Romain,
Super, et un grand Merci pour votre réponse rapide. Je vais consulter vos liens documentés. Continuez à nous épater avec vos super articles. Bon vent .
Bien amicalement.